A half that is living to destroy. A half that is trying to survive (ishvari) - 01/03

Ishvari Akshaya Khodja

Some are Born to Endless Night

prénom, nom ‹ Ishvari Des syllabes qui coulent sur la langue, tantôt suaves et tantôt râpeuses. Pleines de promesses et de mensonges. L’innocente apparence et derrière, la cruauté. Un murmure rauque, à la fois caressant et terrible. Ishvari la curieuse. Ishvari la séductrice. Ishvari l’avide. Des lèvres peintes en rouge, un éclat brûlant dans les yeux, un soupçon de poison habilement caché. Akshaya la victorieuse, la guerrière. La joueuse qui ne croit qu’au quitte ou double, tout savoir ou se perdre. Vaincre ou mourir. Khodja Sortis de la crasse et du sang, de l’obscurité et des bas-fonds. Un pouvoir gagné, mérité, tâchant les mains de sang. Nom de cauchemars et de murmures. Famille vorace et insatiable. Le corbeau croasse qui croasse dans l’ombre. âge ‹ Le temps glisse entre ses doigts, les grains de sables s’éparpillent, les uns après les autres. Moment déchus. Moment vaincus. Passés.vingt-cinq ans déjà Une peau lisse, encore intouchée par les années. Une flamme qui brûle ardemment.date et lieu de naissance ‹ Un pâle matin de printemps à l’aube. Dans l’air encore frais avant que n’arrive la chaleur ardente. C’est le 5 avril qu’elle a pris sa première respiration, que les premiers cris ont rebondit contre les murs. Une nouvelle enfant en Launondie. statut matrimonial ‹ Seule et sans aucun désir que cela ne change. Elle papillonne de droite à gauche. Présente pour une nuit avant de s’enfuir. Son métier l’a rendue amère, méfiante. Elle ne croit plus aux fausses promesses murmurées par amants et amantes. Ils mentent. Elle le sait. Alors elle se contente d’enlacer. D’embrasser. De furtifs moments de plaisirs rapidement oubliés. Mais s’attacher ? Ishvari en est terrifiée. sang ‹ Autrefois bronze et désormais argent. Une noblesse nouvellement gagnée qui roule et se cogne contre ses veines. Une noblesse méritée depuis longtemps mais désormais l’annonce est officielle : il faudra compter avec les Khodja métier ‹ Les corps qui s’entremêlent, les râles passionnés accompagné de soupirs de plaisir feints. Claquements de la peau et aveux fervents, secrets murmurés sans même se souvenir des avoirs prononcés. Vendeuse de chair Mère maquerelle. Le plaisir et son apparence construisent son royaume et plus que tout celui de sa famille. maître de ‹ Une ombre brouillée, disparue, effacée. Un nom oublié. Ishvari reste solitaire dans une liberté retrouvée élément ou don ‹ Le feu Ardent dans son âme. Brûlant contre ses veines. Un pouvoir qui l'a définie pendant si longtemps. Des heures de travail, de patience, d'acharnement. Tout cela pour le perdre pendant un bref instant. Le virus l'a mise à terre mais l'épreuve a été vaincue. Ishvari renaît bénie. A ses flammes ravivées vient s'ajouter l'éclair. allégeance ‹ Sa famille Khodja n’est pas seulement un nom. C’est un serment. Pour eux, pour ce qu’ils ont construits, elle est prête à sacrifier beaucoup. Du sang sur ses mais s’il le faut … tant que ce n’est pas celui des siens. compétences ‹ persuasion (1), espionnage (1), vigilance (1) localisation actuelle ‹ Home la demeure familiale,chez elle, chez les Khodja. Une antre qu'elle partage avec une volée de corbeau. Un nid d'obscurité rassurant.groupe ‹ DII FACIENTES ADIUVANT avatar et crédits ‹ Shay Mitchell + castamere.

Satisfaction brought it back ‹ Son plus grand défaut. Presque une obsession. Tout savoir. Tout voir. Tout entendre. Une curiosité sans borne, sans limite qui la ronge. Knowledge is power. Il y a cette étincelle dans ses veines qui fait battre son cœur plus vite lorsqu’elle apprend un secret. Un frémissement sur sa peau lorsqu’elle qu’elle découvre une nouveauté. C’est une force. Mais surtout une faiblesse. Une faiblesse qu’elle masque autant qu’elle le peut. Consciente que cela la rend aisée à manipuler. C’est plus fort qu’elle pourtant. Elle ne peut s’en empêcher. Ishvari sait pourtant que cela risque de lui coûter. Après tout Curiosity killed the catThe abyss gazes also into you‹ Bon sang ne saurait mentir. Noirceur ne saurait partir. La violence qui fleurit derrière une douce apparence. Le sang et la douleur la font se stopper. S’arrêter. Mais pas de dégoût dans ses yeux, ni de cris sur ses lèvres. Juste une sombre fascination dans ses prunelles noires. Ce n’est pas la douleur elle-même. Ce n’est pas l’infliger. Mais elle ne peut s’en détourner. Une satisfaction presque esthétique qui fleurit dans son ventre. Ce n’est pas un plaisir dérangé. Davantage une addiction cachée. Simplement regarder. Ishvari ne se salit pas les mains si elle peut l’éviter. Masquée dans l’obscurité elle se contente d’observer. Repoussante voyeuse aux crocs acérés. Red lips, painted face ‹ Femme sans âge. Femme aux mille visages. Ses traits délicats sont constamment peints, constamment masqués. Parfois vieillis pour une illusion de pouvoir. Pour attirer le respect. Pour dissimuler ses secrets. Elle se transforme Ishvari. Cachée derrière l’épais maquillage, elle est en sécurité. Son nouveau visage dessiné devient impassible, insondable. Une illusion entièrement construite. Elle devient non pas ce qu’elle est mais ce qu’elle veut. Séductrice. Puissante. Menteuse. Et derrière les yeux de fumés et les lèvres rubis personne ne peut discerner la réalité. Toute fêlure ou faiblesse cachée.Dancing girl ‹ Corps arqué. Jambes tendues. Les hanches qui roulent en un balancement hypnotique. Mouvement languides mais habilement calculés, chaque soupir, emplis de sensualité. Ce n’est pas une dance noble, pleine de grâce et de beauté. C’est ce qu’elle a appris à force de fréquenter des prostituées. Elle bouge, séductrice, dans ses yeux, une lueur presque affamée. Chaque geste est une ode à la luxure, à l’abandon. Un appel au plaisir sauvage, à se laisser aller. A cesser de s’appartenir. Ishravi sait tout du pouvoir mystérieux que possèdent les amants sur leur partenaire. Elle en joue. Elle en abuse. Dans l’ambiance feutrée d’un bordel, derrière les lumières tamisées, elle est reine.I am a we ‹ Moitié d’un tout. Âme unique, partagée en deux. Une sœur jumelle née à quelques secondes d’intervalles. Ils les disent différentes. A des années-lumière l’une de l’autre. Opposées. Leurs courroux et leurs disputes font trembler la terre. On les voit ennemies. On les murmures Némésis. Mais si leurs cris se rejoignent, leurs cœurs font de même. Ils battent à l’unisson. Leurs différences ne les opposent pas tant qu’elles ne les lient. Il y a le sang, il y a le nom et une lueur dans les yeux un peu trop semblables. Elles se blessent mais se défendent. Souvent incapable de se comprendre, mais tout autant incapable de se quitter. Ni reflets, ni miroir pour des identiques qui ne se ressemblent pas. Mais leur sang coule de concert et l’écho de leurs cris dessinent une symphonie.

‹ Décrivez quelle est la position de votre personnage vis-à-vis de la situation politique actuelle. (dissolution de l'empire, virus, purge)

Le virus l’a mise à terre. Piétinée. Lui a fait connaitre la douleur et le désespoir. Mais des cendres elle a émergée bénie. Des éclairs dansant contre le bout de ses doigts. Plus forte que jamais, même s’il faut tout réapprendre. Ishravi la divine. Ishravi la bénie. Son don est un cadeau. Ils l’appellent bénédiction, Ishravi n’est pas toujours certaine de le croire … mais l’important est que eux le pense. Et qu’elle gagne du pouvoir. Alors qu’importe, chance ou destinée. Une arme de plus lui est fournie que peut-elle faire si ce n’est l’utiliser ? Bénie elle est et pourtant elle n’aime guère évoquer la purge. Lèvres scellés et yeux détournés. Elle refuse de laisser s’échapper dans l’air lourd ce qu’elle pense réellement. Parce qu’elle est bénie et que pour gagner ce pouvoir il faut que d’autres en paie le prix. Hypocrisie feutrée. Avidité qui piétine de bien maigres principes. Et Ishravi veut plus que jamais. Peut-être n’est-elle qu’enfant de la seconde branche, au pouvoir limité par sa naissance. Qu’importe. Tous les Khodja s’élèvent même si certains montent plus haut que d’autre. L’avenir sourit aux siens, alors Ishravi se moque bien que l’empire s’effondre ou que des guerres s’embrasent. Tant qu’ils en sortent vainqueurs

pseudo et prénom ‹Swanielle et Flora âge ‹ 22 ans comment as-tu trouvé le forum? ‹ on m'a vilement tenté pouty

pays ‹ France fréquence de connexion ‹ autant que possible cutie2

votre avis sur le forum ‹ il est magnifique much love

parrain ? ‹ Zahir Khodja smiley préféré‹ ykwim

gif qui décrit le mieux votre personnage‹

Spoiler:

PINNED UNDER THE WEIGHT 2017-18

Dernière édition par Ishvari Khodja le Jeu 1 Mar 2018 - 20:44, édité 8 fois

if you can't bite never show your teeth

Power is only given to those who are ready to lower themselves to pick it up

Let the red run slowly into the stream

Deux grands yeux sombres écarquillés. Pupilles noires qui avalent l’iris. Fascination inextinguible. Des petites mains s’agrippent au coin d’un mur décrépi. La silhouette est en retrait. Recroquevillée. Presque cachée. Elle est une ombre déjà. Cachée, puisqu’elle ne devrait pas être là. Ne devrait pas voir ça. Des lèvres entrouvertes laissent s’échapper un soupir haletant. Un pas en avant et elle verra mieux. La jambe se tend, le pied se lève … mais elle se fige. Se retient. Ne pas se faire voir. Elle n’est que fumée et fumée elle doit rester. La jeune fille se recroqueville. Invisible de l’endroit où elle est.

Et les yeux grands ouverts elle regarde, elle savoure.

Du sang qui roule sur la vallée enflée d’une pommette. Des doigts tordus, brisés. Penchés dans un angle impossible. Brindilles rompues par une tempête. Une tête penchée, vaincue. Des yeux suppliants, perdus. Des gémissements qui résonnent contre les murs nus. Faibles et plaintifs. Une douleur qui se ressent, qui s’avale, qui se gobe. Un picotement sur sa peau à elle qui se love contre sa nuque. Envoûtement déplacé. Un autre coup et la tête de l’homme part en arrière. Traits presque indiscernables, cachés sous une peau enflée marrée de bleu et de violet. Plus monstre qu’humain sous le poids des coups et du sang. Figure cassé et geignarde. Suppliques ou aveux dansent sur ses lèvres. Lesquels elle ne sait pas, elle n’entend pas. Les sons forment une symphonie dont elle ne reconnait pas les notes. Ses yeux glissent de détail en détail. Parcourent les ruisseaux d’incarnat qui dévalent un corps tendu, suant. Effleurent les bosses bleuis et les os cassés. S’arrêtent sur les plaies béantes. Des yeux, du sang, des hurlements. Il y a une odeur dans l’air. Le cuivré de l’hémoglobine. La saveur rance de la sueur. Celle plus acide de la peur. Répugnant. Enivrant.

Violence qui l’attire et qui l’appelle. Non pour la commettre mais pour la regarder. Payer l’hommage qui lui est dû. Elle n’y peut rien s’il là où il n’y a qu’horreur, elle trouve de la beauté.

L’enfant se fige soudain, sa respiration bloquée dans sa poitrine. Invisible elle n’est plus. L’ombre a marché un peu trop près de la lumière. Repérée. Attrapée. Ishvari ne bouge plus, le cœur battant contre ses côtes. Des yeux azur se plantent dans les siens. Perçants. Creusant un trou dans son âme. Ils semblent tout voir. Tout savoir. Mais elle ne peut se détourner. Et deux puits noirs luttent contre l’azuré.

Zahir

In this river your hands will not be washed clean

Le regard du père, sombre et courroucé. Les yeux ombrageux, les sourcils froncés. Un peu de dédain qu’il ne daigne même pas cacher, saupoudré d’une furie qu’il tente de contrôler. Le regard est pesant. Presque douloureux. Ishvari se mord la lèvre pour ne pas parler. Ne pas crier. Les mots meurent contre sa langue, la fille reste silencieuse. Etouffée. Ses ongles viennent racler le bois de la table. Elle ne fait qu’écouter. Discrète, comme toujours. Elle crève ses pensées. Observe seulement. Elle peut goûter l’amertume dans l’air. Sentir le parfum rance de l’insatisfaction. La jalousie. L’envie. Elle écoute et elle apprend. Ce qu’il dit à voix haute. Derrière les portes closes. Ce qu’elle pense deviner. Parfois confuse. Souvent perdue.

Une mer de secrets qui s’étend à perte de vue. Des mots brumeux et changeants. Une éternité entre ce qu’elle connait et tout ce qui lui reste à découvrir. La brune en sait juste assez. Assez pour savoir qu’un gouffre s’étend sous pieds. Assez pour savoir qu’il va falloir choisir. Tomber. Traverser. Deux possibilités. Elle a entendu des mots d’injustice qu’elle ne comprend pas. On lui a susurré une colère qu’elle comprend, à défaut qu’elle soit véritablement sienne. Ishvari connait la saveur du dépit. La convoitise. Ce besoin d’avoir plus qui lorgne sous la surface, prêt à s’immiscer dans chaque faille et à empoisonner l’esprit. Elle voudrait plus que ce qu’elle n’est. L’ambition est aussi douce qu’enivrante. Chaque miette de pouvoir gagné doit être multipliée. Et parfois il y a le sentiment d’être moindre. Enfant de la seconde branche. De ne pas avoir assez. De ne pas valoir assez. Il est simple de regarder de loin et d’envier. Alors la tentation l’a déjà effleurée.

Une certitude résonne pourtant. La faim qui la dévore sera rassasiée s’ils s’élèvent tous. Better to reign in Hell than serve in Heaven. Alors derrière l’envie se glisse l’admiration. Envers une force. Envers une dynastie. Envers un nom. Le sien. Le leur.

Khodja.

Guilt will arise and your skin will stain

Des bras qui s’enroulent autour de sa taille. Un visage qui se love contre son cou, des cheveux de jais chatouillant sa joue. Doux comme de la soie. Un sourire lent qui se peint sur son visage tandis qu’elle accepte l’étreinte sororale. Le calme après la tempête. Autour d’elles, l’endroit est dévasté. Au sol de la vaisselle brisée. Sur deux corps, des bleus se mettent à fleurir. Du sang se glisse sous les ongles. La dispute fut dévastatrice. Comme à l’accoutumée. Elles se tirent et se déchirent, deux flammes brûlant trop fort pour être contrôlées. Trop différentes. Trop opposées. Elles se font mal comme elles peuvent, à coup de griffes, à coup de dents. Les phrases deviennent des armes trempées de poisons. Les mots sont tirés pour blesser, pour détruire. Les cris deviennent hurlements, les secrets des bombes prêtes à exploser. Et à les voir de loin on pourrait jurer qu’elles sont ennemies.

Que les deux âmes jumelles cherchent à se dévorer. Fatiguées d’être trop semblables, seul l’une d’elle peut régner.

Mais ce ne sont que des sots, eux qui ne savent pas voir derrière le voile. Qui s’arrêtent aux rugissements sans comprendre ce qu’ils cachent. Qui ne voient qu’haine et colère là ou seulement subsiste un amour trop grand. Ils peuvent bien se leurrer, ce n’est qu’une arme supplémentaire à utiliser. Leurs différences immenses ne font que les rapprocher. Si les étreintes se font violentes ce n’est que pour mieux s’enlacer. Elles sont à l’opposées et pourtant les deux faces d’une même pièce. L’agressivité est leur moyen d’expression, chacune tentant de convaincre l’autre du bienfondé de ses actions, de sa pensée. Comme toujours l’accord effleure leurs doigts tendus avant de s’envoler ne laissant place qu’à des élans toxiques. Les mots sont corrosifs pour mieux cacher l’inquiétude. Mais ils ne sont que mots. Elles peuvent s’insulter, la certitude absolue de leurs affections respectives rend tout insignifiant. Elles sont deux. Dualité qui rime avec force.

Ishravi se penche en arrière. Se fonds dans l’embrassade, dans le corps chaud d’une sœur qui ne la quittera jamais. Comme pour la rassurer, les bras se resserrent autour d’elle. Il y a autant de force et de non-dits dans l’étreinte que dans le déchainement de violence qui l’a précédé. Des lèvres s’ouvrent. Chuchotent un mot unique qui peut tout effacer. Une conviction infinie qui les unies. Une promesse. Un serment. Une déclaration d’allégeance.

Ensemble.

Plain and drained to the vein from those you've slain

Un parfum capiteux flotte dans l’air. S’enroule autour des bras nus, autour des silhouettes alanguies, à la nonchalance étudiée. L’ambiance est feutrée. Lumières tamisées et paroles susurrées. L’endroit respire la volupté et si l’on regarde autour sans trop vouloir chercher, on n’y verrait que beauté. Mais sous la surface lumineuse, l’eau est trouble. Derrières les sourires factices et les visages maquillés, se cache une faim dévorante matinée d’un désespoir profond. Ishvari ne le sait que trop bien. Elle est reine dans son domaine, ses lèvres carmines tordues en une moue ennuyée. Et ces âmes perdues et accablées c’est bien souvent elle qui les a fait tombées. Ou parfois rattrapées. Ange et démon. Sauveuse et bourreau. On la juge parfois. Souvent. Son nom rime avec infamie. Vendeuse de chair, Marchande de plaisir.

Les jugements glissent sur elle comme l’eau sur les rochers. Elle apporte sa pierre à l’édifice. A l’empire des Khodja. La brune se lève lentement. Erre sans but. Ses doigts glissent lentement sur la soie d’une robe. Effleurent une épaule. Admirent un visage impeccablement peint et des yeux fumés. Son regard est pensif. Derrière les visages languides se cachent de l’envie ? De la haine ? Sans doute un subtil mélange des deux. Il n’y a pas de barreaux mais l’endroit est aussi prison. Mais parfois elle se demande Ishvari si elle ne s’est pas elle-même, enroulée des chaines aux pieds. Marque invisible gravée dans sa chair. Le sexe qui devient soudain plus sale que des mains trempées de sang. Elle a choisi pourtant. Elle trouve son pouvoir ici-bas. Entre les murmures passionnés et les gémissements mensongers. Dans les regards respirant la convoitise et les désirs assouvis. Dans les informations qu’on lui rapporte, exhalés dans un moment d’abandon. Suite à une question impeccablement minutée.

Pourtant parfois arrive le doute. Elle rêve alors parfois de lumière mais sait qu’elle ne pourrait que la bruler. Appartient à l’obscurité. Regard qui devient sombre. Les rêves sont mauvais. Trop tentateurs. La ronge parfois. Murmures toxiques et tentateur. La jalousie qui s’élève l’espace d’un instant avant de retomber. Elle a plus de pouvoir qu’autrefois. Plus qu’elle n’avait espéré. Mais est-elle la marionnettiste comme elle croit le penser ?

Ou juste une poupée de fumée ?

PINNED UNDER THE WEIGHT 2017-18

so d'abord j'ai vu le nom. mea culpa

puis shay. fall

puis ce métier. oshun

bienvenue dans ta nouvelle maison. cute

Tiens, tiens, tiens, vous ici ? A half that is living to destroy. A half that is trying to survive (ishvari) - 01/03 4044844111

Je t'ai travaillée longtemps au corps pour que tu cèdes but damn, ça valait la peine puisque t'as fini par débarquer avec ma sestra machiavel

j'ai revêtu exprès le bon compte pour t'accueillir comme il se doit, j'espère que ça te va droit au coeur chem

En tout cas trop hâte de lire la suite parce que bon sang, te lire m'avait manqué A half that is living to destroy. A half that is trying to survive (ishvari) - 01/03 2269768220

A half that is living to destroy. A half that is trying to survive (ishvari) - 01/03 2269768220

Vivement qu'on complote pour notre lien et surtout qu'on puisse enfin se faire un rp hug two

Bienvenue officiellement, tu verras que tu regretteras pas d'avoir débarqué par ici A half that is living to destroy. A half that is trying to survive (ishvari) - 01/03 3836947603

A half that is living to destroy. A half that is trying to survive (ishvari) - 01/03 3836947603

les avatars et les gifs sont magnifiques choquee

bienvenue

une khodja de la seconde branche
j'espère qu'elle va remonter le niveau parce que pour le moment entre zahir et youri c'est pas encore trop ça
hâte d'en lire plus et bienvenue parmi nous. I love you