prénom, nom ‹ Fidèle à ce prénom offert, fidèle à la perfection de la divinité allégorique qu'est Calista - car elle n'est rien d'autre qu'une ode à ce qu'il y a de mieux réalisé. D'une partie du nom de famille, Biabel, on devine l'esprit de la force.  âge ‹ Là est un visage peu juvénile, et voilà que les années s'accumulent mille fois sur la peau blanche et le regard étiré - trente-cinq années où l'âge n'a jamais été regretté. date et lieu de naissance ‹ Quelque vingt-trois avril d'un lieu oublié.  statut matrimonial ‹ Il y a un cœur en deuil d'une romance passée, d'un rêve jamais exécuté. sang ‹ L'impureté lui va si mal. métier ‹ N'est rien de plus que ce que sa nature lui intime - mais elle danse quand il n'y a personne pour la regarder. maître ou adiutor ‹ Adiutor. pouvoir ‹ Les objets bougent par la simple force mentale. allégeance ‹ Ni soumise, ni révolutionnaire : pourtant elle aime les ordres inscrit, elle aime que rien ne change. localisation actuelle ‹ Les basques du maître. groupe ‹ réponse ici avatar et crédits ‹ sarah gadon @valyria

musicienne ‹ Piano découvert chez les autres, l'instrument qui n'a jamais été à elle. Mais la portée sur laquelle dansent les notes, les sons auxquels elle donne vie sont les siens. Plaisir sirène à ses propres oreilles, soupirs d'aises à ses mélodies enchanteresses. danseuse ‹ Des mouvements en une ode à la fluidité des corps, à la puissance des gestes - le rythme est la peau, le rythme est son cœur entier. Elle est le son et le rythme par ces deux arts maîtrisés. le secret de l'artiste ‹ Les talents toujours jalousement gardés pour elle-même : elle se veut être une fleur sur laquelle aucun regard ne sera posé. mademoiselle strange ‹ Il y a quelque chose qui va pas chez elle. C'est un peu ce qu'on dit d'elle après trois mots échangés. Une intuition brumeuse, une impression vague qui ne veut rien dire - mais elle l'est mille fois.  la colère ‹ La rage est pleine dans son cœur gris, réelle et visible dans la manière dont ses mains se serrent au milieu des affaires quotidiennes, dans l'indélicatesse des manières anodines. L'âme maternelle ‹ Les enfants impossibles, les êtres rêvés. Mais ce monde est impossible, ce monde qui ne pourra être renversé est la simple raison pour laquelle Calista n'y pense que le soir entre pleurs et rages. Car même si elle enfante, elle ne sera jamais mère. L'austérité ‹ Le noir est millénaire chez elle : pour jamais coquette, les apprêts ne sont que la stricte élégance d'une femme dont la propre beauté importe peu. les envies coupables ‹ Le plaisir n'est pourtant pas ignoré, l'apparence austère n'est pas gage de vie de sainte : le vin coule sur ses lèvres avec délectation dès qu'un verre traîne, et les doigts se glissent parfois entre ses propres jupes pour soulager des désirs immuables. le sourire ‹ Sourire brisé de la comédie calistienne, sourire qui irrite les joues et assèche sa langue. caractère ‹ sévère, sérieuse, froide, antipathique, sourire mal exécuté, agacée, colérique, jugeante, désabusée, mordante.