prénom, nom ‹ inconnu et sans le moindre impact historique, Iscah Estermont, demie-descendance d’une nouvelle lignée d’après guerre et vestige précipité. âge ‹ 32 ans, d’un tempérament inflammable. date et lieu de naissance ‹ 23 mars, à Azurite capitale d’Aguarinui (Aksana), première moitié d’un tout à quelques secondes près. statut matrimonial ‹ vagabonde indomptable, célibataire qui ne confie son cœur à personne. sang ‹ mêlé, le sang rouge, carmin profond. métier ‹ précédemment adiutor et dorénavant plus qu’un soldat, dans les rangs (faction attaquante) de l’armée de Pollux. adiutor de ‹ le blond, @Mance Graylin, maître ni désiré ni accepté et dont les chaines se sont brisées et le lien a été rompu. pouvoir ‹ bracelet bleu, télé kinésiste qui s’acceptait et à présent jalouse. allégeance ‹ Pollux, à ses frères et sœurs de combat, à elle-même. compétences ‹ combat (27/200), stratégie (22/200), social (05/200), survie (13/200), discrétion (08/200), niveau 01, novice. localisation actuelle ‹ Launondie capitale de Flamaerin, la plupart du temps, hors déploiements. groupe ‹ réponse ici avatar et crédits ‹ keira knightley + (avatar) tyrell @ bazzart #3579782, (gifs) philukas – emmacarstairs @ tumblr et (titre et citations) eminem et gwen stefani @ kings never die.

( UN ET UN QUI FONT UN ) première de deux parties d’un tout, unique, une seule personne pour deux corps – pour deux cœurs, une unique âme traversant les seconde – les minutes – les heures, à l’unisson. Accrochée à son frère, pot de colle, ses amis devenaient les siens, ses goûts et préférences devenaient siens, plus que reflets l’un de l’autre, ils ne sont que deux morceaux qui s’assemblent – se désassemblent, au gré de péripéties et des instants. Inséparables par le passé et inconnus à présent, elle force intrépide et lui caresse docile, ils ne sont plus que complémentarité effacée. Plus qu’un vide. ( TEL UN CHAT DE ERRANT ) indomptable curieuse, les égouts destination d’escapades préférée d’entre toutes. Enfant, téméraire et imprudente, entrainant son frère dans l’excitation faite de peur et d’adrénaline. Rusée, au cœur des boyaux de la ville, le rire amusé qui résonne aux éclats. Des tunnels qui sont siens et, dans sa cervelle, se dessine au fusain une carte détaillée des passages discrets de la ville, connus d’elle comme de personne d’autre. ( LE COEUR VAGABOND ) peu populaire dans le passé, tout autant que maintenant, sans attaches. Papillonnant de plante en plante, de fleur en fleur, de cœur en cœur, telle une abeille reine insatiable – inépuisable. Toujours s’enlacer le corps mais jamais le cœur, jamais dans l’âme. ( BLEU, HÉMATOMES ET ECCHYMOSES ) depuis plusieurs décennies, complémentarité fraternelle, le bracelet bleu au poignet – télé kinésiste. En capacité de matérialisation de la force de l’esprit, de plier à sa volonté les objets inanimés, d’un regard – d’un geste de la main, dépendamment de limitations à la taille et au poids de ces derniers. Force et détermination qui, malgré une maitrise plus qu’évoluée, ne limite pas l’avidité jalouse de le bleue face à d’autres dons considérés bien plus offensifs. ( ACADÉMIE IGNARE ) un passage à l’académie peu assidu et pas franchement brillant, plus pratique que théorique. Et finalement, sortie de l’académie avec encore beaucoup à apprendre, exception faite peut-être de la maitrise de son pouvoir, contrairement à son frère – encore. Passage difficile, tournant clé et crève cœur, intégrée avec Tobias, son jumeau et quittée avec Mance, son maître. ( MAITRE ET ADIUTOR ) Mance Graylin, pour maître et peu importe ce qu’il dit ou pense, ils se comprennent. Il n’y a aucunes révérences, rien qu’une relation en dents de scie, sur la base d’affrontements physiques répétitifs et de communication sarcastique compliquée. L’un et l’autre ne se sont laissé aucuns passe-droits, jamais. Entre haine apparente, estime profonde et respect agacé leur relation balançait – mais dorénavant, le lien est rompu, les chaines brisées et il se pourrait que les choses changent en faute au virus. ( RÉSISTANCE POUR POLLUX ) participation, dans les premières années post-académies, à la résistance sous l’influence maternelle d’une maitresse de l’eau. Pas vraiment son mouvement, résistante impliquée par opposition à la couronne, par objectif commun. Puis, les choses ont changé, maintenant s’insinue la haine des Osanos tout autant et ne compte plus que l’égalité des sangs. Au jour d’aujourd’hui, fidélité – loyauté aveugle et allégeance ne vont plus qu’à Pollux. Opportunité d’un avenir meilleur, d’un renouveau aux opprimés. Il n’y pas qu’admiration sans faille, presque dévotion absolue, pour opportunité de liberté insoupçonnée. ( UN PROBLÈME À SA SOURCE ) vécu comme un vol, une trahison, la séparation d’une part d’elle-même – un vide. Enlevé par un Griffith qu’elle n’acceptera jamais, cœur saccagé et en profonde souffrance. Rien ne s’arrange plus, ensuite, avec ‹ l’incident ›. Le deuil de parents perdus trop tôt. C’est ainsi qu’elle naît, la rancœur – la peine, l’animosité. Des paroles de trop, trop peu mesurée, et la perte d’une maitrise. Les idées s’emportent, s’envolent, flottent sous le joug du télépathe blessé. Et doucement la noirceur s’insinue, creuse son trou, métamorphosant l’amour en haine, la clémence en jalousie. L’envie de faire couler le sang, ce sang identique, son propre sang s’enfonce profondément. ( SAUVAGEONNE ) les yeux d’un brun profond et le regard expressif, même un peu trop. Rage qui boue, qui ronge tout, depuis un an maintenant. Il n’y a plus de rires, plus d’engouement à rien, ni même de joie. Il n’y a plus d’allégresse, que des morceaux brisés et l’ombre de la mort qui se délecte de la souffrance. Femme meurtrie qui ne vit dorénavant plus que pour écouler le sang vers ses idéaux. ( BRUME ET VOLUTES ) des lèvres rouges, toujours joliment teintée, d’une couleur qui jamais ne change – jamais ne varie. Cigarettes. Addiction, pas forcément expliquée, tige de cendres et fumée opaque – âcre et nauséabonde, odeur de tabac froid incrustée. Telle un enfant qui s’amuse de l’image des volutes qui s’élèvent.