Spoiler:

Yekatarina Bolkonsky a écrit:

lorsqu'elle revient, elle sursaute en apercevant la silhouette qui se tient devant elle : Marlys Swanson. Personne qui, elle ne sait pourquoi, lui avait toujours imposé du respect. Sans doute parce-qu’elle était une Swanson. La Bolkonsky ne craignait pas grand monde, mais elle devait bien avouer que cette famille l’effrayait.

couship, ça me fait penser à coucherie
excusez mon esprit mal placé mais bon, avec les swanson, ça passe ce genre de pensée non ?

Marlys Swanson a écrit:

sinon, SHIP ALERT, SHIP ALERT
@hedda wolffhart & @william jacobson
hilde right now :

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Marlys Swanson a écrit:

quant à @yekatarina bolkonsky

Yekatarina Bolkonsky a écrit:

lorsqu'elle revient, elle sursaute en apercevant la silhouette qui se tient devant elle : Marlys Swanson. Personne qui, elle ne sait pourquoi, lui avait toujours imposé du respect. Sans doute parce-qu’elle était une Swanson. La Bolkonsky ne craignait pas grand monde, mais elle devait bien avouer que cette famille l’effrayait.

Marlys en impose

Marlys Swanson a écrit:

sinon, SHIP ALERT, SHIP ALERT    
@hedda wolffhart & @william jacobson
hilde right now :

Spoiler:

Adonis Griffith a écrit:

Nan mais tkt yeka, adonis aussi il fait pas le fière devant un Swanson mdr

Citation :

Son col roulé remonté jusqu'à son nez lui donnait un quelque chose d'enfantin, de fanfaron cherchant à amuser la galerie. Ce n'était, dans ce cas-ci, jamais que pour se protéger du froid qui régnait à l'intérieur du fiacre.

Citation :

on lui avait signalé la présence d'Antwan dans un hôtel de Volastar. Seul. Sans Michail. Et Sevastyan ne pouvait s'empêcher de penser que quelque chose avait mal tourné. Il avait eu beau repenser cent fois à la situation, il ne parvenait pas à comprendre comment Antwan avait pu se retrouver seul.

Citation :

Le père qu'était Sevastyan sentit son cœur se serrer dans sa poitrine lorsque son regard s'attarda sur le visage de son garçon, ainsi que sur sa silhouette. Amaigri, ses traits portaient les marques d'une profonde fatigue, et Sevastyan sentit l'émotion le gagner à grands pas. « Antwan... » prononça-t-il en détournant le regard. Il ne supportait de voir son fils dans cet état. Il ne le supportait pas. Le maître d'armes prit une profonde inspiration pour se ressaisir, puis il plongea son regard dans celui de son premier-né. « Je suis venu te ramener chez nous. » Il n'y avait dans la voix de Sevastyan ni le caractère absolu d'un ordre parental ni un quelconque reproche. Juste un extrême soulagement et une joie visible au fond des yeux du maître de l'air, qui ne savait plus comment aborder son enfant depuis la terrible blessure de celui-ci.

Citation :

Lui ne servait plus à rien, mais Rhy pouvait continuer sa vie, partir, voir le monde – vivre tout simplement. Ainsi avait-il décidé de lui rendre sa liberté lorsqu’il reviendrait de son séjour dans les limbes ; c’était le plus juste. Son statut ne nécessitait plus de protection particulière, qui l’obligea à rester en sa compagnie. L’époque bénite s’était dissipée, envolée avec ses espérances de gloire grandiloquente. Tous cherchaient l’ancien Antwan sur le visage fermé, et se fourvoyaient. Il était parti et ne désirait nullement qu’on vienne le déranger. La noirceur s’écarta au profit des rayons de soleil matinaux, et il effleura la main de l’abimé. À maintes reprises, les pensées de ce dernier s’étaient louvoyées dans sa tête. Des bribes d’anecdotes égarées de leurs destins étroitement liés, des visions qui n’étaient pas les siennes – mais où il apparaissait. Si beau… Si étranger. Était-ce de la sorte qu’il le voyait ? Pourtant le reflet du miroir n’était guère flatteur ; la peau recouvrait des os pointus, les cheveux étaient plus longs, filasses, un fantôme translucide. Il se rappela brusquement – avec une vivacité soudaine – le don de la branche d’oranger, cru même en percevoir l’odeur, et un mince sourire s’anima sur ses traits conscrits.

Citation :

Pas comme moi pensa-t-il égoïstement, en prenant place sur le matelas à une distance raisonnable.

Citation :

« Avec Naos, ce n’était pas pour toi, Cal. » Il a un sourire mauvais, et secoue la tête, alors qu’il s’approche, laissant lui aussi son corps venir presque contre celui du blond, leurs chemises se frolant doucement. « C’était pour moi, et pour l’inoubliable orgasme que ton adiutor m’a donné. » souffle-t-il, presque contre ses lèvres.
Souffre, qu’il aimerait lui dire.