pseudo et prénom ‹ Rosenwood & Julie âge ‹ On a déjà dit qu'on demandait pas l'age d'une Lady   Mais je suis majeur depuis bien trop longtemps pour mon immaturité  comment as-tu trouvé le forum? ‹ Bazzartpays ‹ Fr.fréquence de connexion ‹ quand je peux votre avis sur le forum ‹    smiley préféré‹   gif qui décrit le mieux votre personnage‹

Spoiler:

Enfant, sèche les pleurs par les rires. Aujourd'hui c'était un simple verre que tu avais saisi, l'eau avait commencé à bouillir jusqu'à ce qu'il explose dans ta main. Entaillant ta chair, faisant couler ton sang. La douleur t'avait arraché des larmes, tes yeux rougis-tu faisais peine à voir. Avec le temps est la patience, peut-être que tu finiras par accepter à te faire confiance et à accepter ce titre. Mêlé. Tu ne comprends pas mais tu sais que cela fait de toi quelqu'un de différent, comme si tu n'étais pas comme les autres. Comme si tu étais un être malade qu'on devait stigmatiser. Assis dans ton salon, tu restes songeur, fixant le vermeille de ce parasite qu'on t'imposait alors que de ta main perlait des gouté de sang. Innocent de coeur et d'esprit, tu avais accepté sans te poser de questions, mais tu commençais à voir que les regards qu'on posait sur toi avaient changé. Et finalement tu avais commencé à avoir peur, effrayé de toucher les choses car tu ne savais plus ce qui allait se passer. Du haut de la grande fenêtre du salon, tu peux entrevoir la neige tomber. Son manteau d’un blanc cotonneux est magnifique et produit une parfaite rupture en le soleil de l’été passé. Il a passé bien trop rapidement selon toi, mais dans le fond tu apprécies ce renouvellement qui n’est ni plus ni moins que la naissance d’un nouveau cycle que se perpétue. Quelqu’un descendent les escaliers et le plancher en bois ne cesse de grimacer. Les vieilles habitudes ont la vie dure après tout. Les yeux toujours rivaient au-dehors, tu entends la voix de tendre intonation de ta figure maternelle. -Ichabod ? . Sa voix est un don angélique que n’a cessé de te bercer tout au long de ton existence et tu espères qu’elle le fera encore. Elle revient avec des bandages et une fiole contenant à ton grand dam, un désinfectant qui ferait autant de mal que de bien à ta main. - Maman ? Je suis un monstre? . Triste mot que tu pouvais penser de toi, mais finalement tu avais perdu pied, tu avais du mal avec cette nouvelle réalité qu'était ta vie. Gamin, tu avais encore besoin de te trouver. - oh, mon chéri pourquoi tu dis ça ? Elle s'approcha de toi, et vint caresser ta joue comme une mère sait si bien le faire. Apaisant quelques instants les sanglots qui commençaient à se faire entendre. Tu tendis maladroitement ta poignée, celui qui était orné de ce bracelet rouge. Incapable de dire un mot, tu baissas la tête vers le seul, honteux presque. - Non, mon chéri ça veut juste dire que tu es spécial.
Spécial, c'était le mot qu'une mère employait pour dire que tu n'étais pas comme les autres, mais que ce n'était pas une bonne chose. Spécial c'était le mot qu'une mère utilisait pour ne pas faire de la peine.


Adolescent qui jouait avec le feu. Tu attendais chaque fin de journée comme un oiseau qui trépignait d'avance l'ouverture de sa cage pour prendre son envol. Toi, tu attendais cette nuit pour te voiler en dehors de ta chambre que tu ne devais pourtant ne pas quitter, les règles n'étaient présentes que pour être brisé, cherchant ainsi à vivre le frisson de l'interdit. Chaque nuit était une opportunité pour croisé ceux qui comme toi ne voulait pas être prisonnier des règles qui vous étiez imposé. Vous n'étiez pas nombreux mais c'était assez, parfois pour tomber dans un jeu de chasse au chat et à la souris, trouver qui avait décidé de braver les interdits. Généralement vous vous retrouviez à l'extérieur, du moins les quelques-uns que tu avais pris l'habitude de croiser dans des murmures provocateurs.
Et parfois tu avais le plaisir de croiser la douce créature que tu n'avais pas le droit de saisir, elle te l'avait dit clairement, tu n'avais pas le droit de la toucher. Indigne de pouvoir marquer sa peau de la tienne. Pourtant tu étais souvent saisi d'un sombre désir de la posséder, elle le savait et semblait se délecter de chaque fuite qu'elle pouvait te faire subir. Elle se voulait proie et pourtant était la plus terrible des prédateurs à tes yeux. Cherchant à t'attirer à elle pour mieux s'échapper, t'offrant à chaque fois un peu plus mais jamais assez. Alors que tu arpentais les couloirs pour sortir et rejoindre les autres, tu l'aperçus. Elle te lança ce regard qui avait cet étrange pouvoir de faire naitre sur tes lèvres un sourire presque niais. Puis elle s'enfonça dans l'obscurité du dédale de pierre, une invitation à ce jeu qui tu ne voulais pas rater. Sans réfléchir, tu la suivis, au diable les autres tu les retrouverais un peu plus tard.
Il ne te fallut pas longtemps pour tomber sur elle, vile sirène qui ne bougeait pas, lové contre le mur, elle savait que tu viendras, c'était toujours le cas. Tu te figeas. - Ichabod, un jour tu vas avoir des soucis à sortir ainsi le soir. Sourire plein d'audace vint dévoiler l'ivoire de tes dents. - Je ne suis pas le seul. Tu fis un pas vers elle, elle ne bougeait pas, elle aimait voir ton désir dans ton regard, ce délectant de l'effet que tu avais sur elle. Elle attendait que tu lui fasses la cour, que tu dises les mots qu'elle avait toujours le droit, ceux que tu ne disais que lorsque vous étiez seuls. - Et la vue en vaux la peine. Une lueur dans son regard, c'était ce qu'elle voulait entendre même si tu savais ce que cela allait amener. - Je ne peux pas en dire autant. Elle mentait, au plus profond de ton âme c'était ce que tu voulais croire. Peut-être qu'elle ne faisait que jouer mais ça tu te refusais de l'accepter. Tu fis un pas de plus vers elle, réduisant doucement le vide qu'il y avait entre vous. Mais tu savais, tu ne devais pas la toucher.
Grand, tu l'avais toujours été pour ton âge, tu l'as surplombé bien dé d'une tête, c'était peut-être ça qu'elle aimait, te voir baisser la tête pour l'admirer. Car l'admirer était ce que tu étais en train de faire. - Pourquoi ne pas rejoindre ta chambre alors ? - Je m'ennuyais. laissa telle glisser entre ses lèvres. Un jeu. L'une de tes mains vint se poser sur le mur juste à côté de sa tête, tu continuais de t'approcher d'elle, fixant du regard ses lèvres que tu ne pouvais pas avoir et qui pourtant t'obsédait tant. De ton autres mains, tu vins effleurer ses cheveux, sa joue, son cou. C'était la règle, tu ne pouvais que l'effleurer. Tu sentis ses doigts caresser avec une grande lenteur ton bras. Ce détachant du mur, elle s'approcha de toi à son tour. Continuant de te fixer avec cet air de défi qui lui sied à merveille. - distrait moi. souffla-t-elle avec cette voix suave qu'elle savait tant faire. C'était toujours sa demande, tu avais rapidement comprit ce qu'elle voulait que tu la fasse frémir comme elle savait le faire avec toi. Sans jamais la toucher réellement. Un défi.
( Elle est sur le forum, démerdez vous pour savoir qui c'est. Cordialement Ichabod)


Jeune adulte, tu frappes au lieux de réfléchir. Alors que la pénombre s’épaississait sous les branches des arbres fruitières. Le professeur réajusta sa cape sur ses épaules et tu n'as pas du pied pour chasser l’engourdissement qui reposait le long de ses jambes la nuit était toujours aussi froide en cette période de l'année. Mais il n'avait d'autres choix que d'être ici avec toi. Il détestait avoir à te faire la morale, mais c’était en quelque sorte la mission que lui avaient confiée ses supérieurs. Tandis qu’une bise glaciale le mordait à travers le long lainage de sa cape, il croisa les bras. Toi tu étais prix d'un frisson, mais la douleur de tes poings ne se faisait que trop ressentir. Tu avais dépassé les limites, tu étais allé trop loin. Un acte de violence qui ne pouvait être que sanctionné. Adolescent turbulent tu avais frappé, à plusieurs reprises, un adversaire à terre. Adversaire était un bien grand mot, après tout ce n'était qu'un élève qui t'avait agacé. Mais tu t’étais laissé emporter un peu trop virulemment. C’est bien que tu lui avais cassé le nez. Si vous étiez éduqué pour être des protecteurs, et donc que le combat était une des matières principales de vos éducations. En dehors des cours, il était strictement interdit d'y avoir recours. Et pourtant, Gamin idiot que tu étais, tu n'avais pas pu te retenir. Et pour te justifier tu n'avais juste aucune idée de ce qu’il avait passé par l’esprit. Un peu trop impulsif peut-être. Au juste totalement dénué d'intelligence, parfois tu te posais la question. Mais l’effet était que tu devais être sanctionné. Que tu devais être supervisée.
- Qu'est-ce qu'on va bien pouvoir faire de toi Moreau ? lâcha-t-il entre l'agacement et le réel questionnement. - Ce que vous voulez Monsieur. répondis-tu aussi naturellement que possible. Sourire à demi-ironique et à demi-provocateur Vous les Mêlées; vous n'étiez en rien libre d'agir comme vous le souhaitait, vos vies ne vous apparteniez en rien. C'était que l'idiot optimiste qui penserait le contraire. Et tu ne l'étais pas. Optimiste.


Adulte, tes humeurs t'emportent bien trop rapidement. La langue aiguisée, le sang fait de feu parfois. Tu t'énerves et t'enflammes alors que tu devrais servir et respecter. Mais tu n'étais pas fait de ce bois, de ceux qui restaient tête base et ne faisait que penser. Non. D'un pas déterminé tu faisais raisonner tes talons sur le sol dallé des lieux. Cherchant ton "maitre", la douce ironie parfois que tu pouvais nommer ami. Mais les choses changeaient parfois et tu étais loin de voir en ce jour un ami. Sans prendre la peine de frapper à la porte, tu l'as posé comme si tu étais dans ton domaine, alors que tu n'en étais qu'un meuble. Il se retourna, demi-sourire aux lèvres alors qu'il voyait la colère marquer ton visage parfois si inexpressif. - Ou son passé tes manières ? laisse-t-il siffler entre ses lèvres tel le serpent que tu voyais en lui sur l'instant. - Je ne le demanderais calmement qu'une seule fois. Ou est-elle passée ? Il baisse la tête mais sourit encore, il sait de quoi tu parles mais veux jouer à l'idiot. - De quoi parles-tu Ichabod ? Tes poings se serrent, si bien que tu aurais pu te couper avec ton ongle pourtant coupé ras. De toute ta taille, tu lui fais fasse, c'était comme si tu cherchais à le provoquer, tel un oméga voulant rivaliser avec son Alpha. Ce mot, quoi, alors qu'il savait que tu parlais d'une personne, mais lui n'y voyait que des êtres inférieurs à son rang. Comme il te voyait comme une chose moins importante que lui. - ARRÊTE DE ME PRENDRE POUR UN CON. tu t’époumones, jusqu'à sentir ta gorge s'iriser. Tu t'avances vers lui te fait presque menaçant, tu n'avais pas besoin de l'entendre te répondre alors que tu savais parfois bien trop lire en lui. - Cesse donc de te mettre dans ses états pour une fille. Tu as toujours été trop sentimentale, je te fais une faveur.. Mais il est impossible parfois de te raisonner, et dans l'agitation de ton coeur et de ton esprit, tu ne peux réfléchir. Le saisissant au col, comme s'il te devait quelque chose. - VA TE FAIRE VOIR. TOI ET TON PUTAIN DE COMPLEXE DE DIEU. DIT MOI OU ELLE EST SINON, JE TE PROMET QUE TU VAS LE REGRETTER. Des menaces, tu t'en foutais de pouvoir le menacer, car le lien qui vous liait te laissait dépositaire de sa vie, comme lui de la tienne. - Pense aux conséquences. Laissa-t-il voler dans l'air. - Je m'en contre fou des conséquences. Tu l'as fait sortir. Ou tu le regretteras. Sitôt t'être fait entendre tu le lâches et repars comme une furie. C'était vrai, tu t'en foutais royalement des conséquences