Anne-Marie Osanos water nation‹ MESSAGES : 888 ‹ AVATAR : marion cotillard ‹ CRÉDITS : cookie sauvage the talented one (av) leslie (gif) ‹ COMPTES : a. bol, m. bel
‹ AGE : QUARANTE-SEPT; l'élixir introuvable, c'est le temps qui afflige son corps, la jeunesse n'est plus depuis longtemps déjà. ‹ STATUT : MARIEE; la déesse s'est détournée du kraken, fuyant sa folie et ses idéaux corrompus, elle ne l'a jamais aimé. ‹ SANG : ARGENT; insouciance de l'ichor, elle est vivante avant tout, à la sève vermeille et précieuse. ‹ POUVOIR : EAU GUERISON; fluides changeants, mais demeurant en son sein, elle se voit désormais bénie de la compassion faite pouvoir, permettant à la déesse de soigner les plus malheureux. ‹ METIER : MERE; le giron criant à l'absence de la progéniture, les jambes parcourant milles lieux pour les retrouver. ‹ ALLEGEANCE : ENFANTS; lula et hyppolite passeront avant tous, elle ne s'intéresse guère aux batailles de couronne et ne cherche que la paix d'antan.
| Sujet: Tobias Estermont & Mance Graylin, 20 novembre 2164 Ven 12 Jan 2018 - 21:54 | |
| Mance,
Je ne veux pas te cacher les raisons pour lesquelles je t’écris, et j’espère que recevoir une missive de ma part ne te mettra pas en mauvaise position auprès de ceux à qui tu as prêté allégeance. Je t’écris pour prendre des nouvelles de vous, de ma sœur, de toi également. Je connais votre relation chaotique, et peut-être que le virus vous procure à tous deux un soulagement. Mais (pour une raison qui t’es peut-être familière) Iscah et moi ne nous adressons plus la parole, et il vaut mieux ainsi pour notre bien à tous. J’ai fait des erreurs, et je les regrette amèrement, et celles-ci ont blessé ma sœur, mais je tiens malgré tout à elle, malgré l’absence et les conflits. Dis-moi, je t’en prie qu’elle est restée à tes côtés, et que la maladie n’a pas emporté son dernier souffle, comme elle l’a fait avec beaucoup d’autres. Je sais ma sœur vigoureuse, bien plus que moi, mais rien ne peut m’empêcher de craindre pour sa vie.
J’attends de vos nouvelles avec une impatience qui me noue les boyaux,
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