01. sol a grandi auprès de sa mère et de son frère aîné. d'une mère Mêlée et d'un père humain, elle a été caché pour la plus grande partie de sa vie pour ne pas finir esclave. démunie de pouvoirs, elle n'était pas fantastique, ni anormale, elle était seulement elle et ça lui suffisait amplement. 02. elle ne voyait pas souvent yerim qui était lui-même dans la facilité pour les Mêlés, et était donc seule, cachée dans la petite maison que sa mère avait préparé. Consciente du danger dans lequel elle se trouvait, elle n'osait, à l'époque pas sortir de celle-ci; Telle une fugitive, elle était prise prisonnière entre quatre murs. 03. Elle est claustrophobe, ce qui l'a d'ailleurs handicapée dans les moments où on venait inspecter la petite maison dans laquelle elle vivait, elle était souvent victime de crise qui lui font toujours un grand effet. 04. Sa mère est morte quand elle n'était alors âgée que de quatorze ans, invraisemblablement les évènements se sont enchaînés et Sol a fini par être découverte par le autorités. Sa mère ayant été assassinnée, son Maître également, il ne restait donc plus qu'elle et Yerim pour tenir le flambeau Osyris. Elle a rapidement été envoyé au palais en tant que servante et esclave. 05. C'est à ses dix-huit ans que Sol a eu la chance de pouvoir se sortir des conditions difficiles d'esclave au palais, à présent au servante de la maison Osanos, c'était un moyen simple de voir son frère, lui ayant organisé cette possibilité. 06. Sol a toujours été discrète, maligne, se prouvant parfois même manipulatrice, elle n'était pourtant pas de ceux qui aimaient se faire remarquer. Arborant un visage passif, innocent, elle n'était pas si mal traitée que ça. On l'ignorait, méticuleuse, elle faisait tout pour que l'on ait pas à avoir à la réprimander. 07. C'est il y a deux ans que les choses ont changé, trahie par l'une de ses camarades, elle a été réprimandé par le patriarche de la famille, fouettée et laissée évanouie dans les cachots du manoir, elle porte toujours les cicatrices de cette altercation; Jamais elle n'oubliera la douleur, jamais elle ne pourra effacer ces images et le sang. 08. Après quoi, Yerim a réussi à la convaincre de se joindre à la ligue, d'abord simple recrue, sol s'est endurcie avec les années, le visage poupon se veut à présent endoctriné par la rage et la haine. elle porte les cicatrices d'une enfance qu'on lui a arraché, enfermée dans une maison pour ne pas devenir esclave, une condition, un statut qui la fait encore souffrir aujourd'hui, une douleur dans le dos depuis ce jour-là où elle s'est faite torturer. Sol a changé, on lui a bouffé son innocence, son utopie, on lui a déchiré sa vie, sa paix intérieure. Elle sait qu'il est temps de se battre, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle elle a accepté de devenir espionne au sein de la ligue. 09. Lorsque les Osanos ont été jugé de traîtres, Sol est partie sans se retourner, sans jeter un coup d'oeil par-dessus son épaule. Consciente que si on l'attrapait, elle finirait pas être vendue à un autre Maître ou même être tuée, elle se réfugie à présent dans le qg de la ligue. Elle est à la recherche de son frère.

my life is yours ‹ La relation qu'ils partagent n'est pas seulement complexe, mais également passionnel. Sol et Yerim, Yerim et Sol. Concrètement ils sont fait l'un pour l'autre, des alters-egos, des âmes soeurs qui partagent pourtant le même sang. Elle est l'amour de sa vie, elle l'a toujours été et le sera toujours. Rien ni personne ne pourrait remplacer Sol à ses yeux, elle est l'autre moitié de son âme, l'entité qui compte plus que sa vie ou celle de Merle. Ils ont grandi séparé, mais ça ne les a pas empêché d'être proche, de partager une relation fusionnelle. Il devait la cacher quand les autorités venaient visiter la maison, elle devait l'écouter, elle le calmait, l'apaisait quand il avait ses crises, il la réveillait quand elle était dans son mutisme. Ca a toujours été une relation de partage où la vie de l'un et de l'autre dépendait de son autre moitié. Les sentiments se sont installés trop naturellement, ils s'en sont très vite rendus compte et ont pourtant toujours nié.