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there's a revolution coming. (braam/atalante)

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MessageSujet: there's a revolution coming. (braam/atalante) there's a revolution coming. (braam/atalante) EmptyMer 26 Juil 2017 - 12:27

braam & atalante
(by anaëlle)

Le mensonge. Braam le savait, c'était aujourd'hui sa meilleure arme ; sa crédibilité et certainement sa survie dans cette cage aux fauves dépendait entièrement de sa capacité à mentir, à se fondre dans la masse. A suivre, bien bêtement, les règles et les codes de cette société qui voulait faire de lui une parfaite marionnette, un pion dans cet échiquier où les Oshun occupaient les places de reine et tours. Lui n'était au mieux qu'un cavalier, protégeant leurs arrières, au sommet d'une armée qui ne gagnait qu'une guerre imaginaire. La guerre. Braam aurait bien aimé les y voir. Aveuglés de pouvoir, ils se sentaient intouchables et supérieurs, mais Braam savait, il savait que ce n'était pas vrai. Que personne n'était invincible, et encore moins ces princes dépourvus d'honneur et de bravoure. Et pas même lui. Un jour, face à la mort, ils comprendraient. Ils comprendraient que toute leur ambition les rendait vulnérables, et que tout leur pouvoir les rendait fous. Ils comprendraient alors que la véritable valeur d'un homme se mesurait là, les yeux perdus dans ceux, sombres et profonds, de l'Enfer éternel. Et ils verraient enfin, que eux ne valaient rien.

Il était très tôt lorsque Braam se réveilla. C'était un homme matinal, qui aimait l'aube et ses couleurs, le silence du sommeil, la beauté de l'éveil. Braam ne s'enthousiasmait que rarement des choses pures et simples qui constituaient le quotidien, son éducation spartiate ne l'ayant pas rendu sensible à ce qu'il y avait de beau dans la nature et dans les éléments, mais ce moment de la journée, entre le rêve et la réalité, était sans aucun doute celui qu'il préférait. Aujourd'hui allait être une journée ennuyante. Ses parents lui demandaient de passer un peu de temps avec sa fiancée. De la mettre à l'aise. De paraître moins autoritaire et froid qu'il pouvait l'être, qu'il était réellement. De la rassurer quant à ces ouïe-dires qui circulaient tantôt dans la capitale, et qui racontaient les quelques aventures nocturnes de Braam dans des bras chaleureux et couteux qu'accueillaient les bordels brûlants du centre. Lui s'en fichait. Il savait qu'il ne pourrait jamais être lui-même avec cette jeune femme qui était bien trop convenable, bien trop comme-il-faut. Il savait qu'il ne pourrait jamais la satisfaire, jamais lui apporter l'amour et le romantisme dont elle rêvait certainement secrètement. C'était après tout ce dont toutes les femmes rêvaient, au fond, non ? Il n'en savait trop rien en réalité. Braam n'était pas un homme qui avait ce don naturel avec les femmes. Qui charmait dès qu'il ouvrait la bouche, qui chantait des mots doux à toutes les hirondelles qui lui plaisaient. Lui ne les comprendrait jamais, ces étranges créatures, sirènes et nymphes, démones et anges gardiens.

Il y avait la traditionnelle course matinale. Les rues vides de la capitale s'offraient à lui et il s'engouffrait dans le dédale mystique à vitesse constante, les muscles réveillés et le souffle travaillé. Si on pouvait reprocher à Braam de ne pas faire dans l'affectif et la démonstration, on ne pouvait dire qu'il ne prenait pas soin de son corps. Au delà de l'impératif du métier, c'était devenu une réelle passion. Une alternative à l'ennui et à l'attente qui constituait son quotidien. La vie de noble n'était pas très divertissante, surtout lorsqu'on faisait parti de l'armée et qu'on ne s'adonnait pas aux curiosités et commérages dont se nourrissait l'argent et le bleu de la société. Alors il sculptait son corps, tel un artisan, définissant avec munition chaque muscle, accentuant chaque trait. Sans jamais en faire trop. Cependant, jamais il n'arrivait au bout de son œuvre. C'était une toile à améliorer chaque jour, presque une obsession. Sauf que ce matin n'était pas comme les autres matins. Un instinct, un pressentiment. Braam avait toujours été doué pour ressentir le danger, les intrus. Quelle ironie, lui-même en était devenu un. Il fit volte-face, au milieu de cette rue déserte du quartier riche. Une ombre, qui s'effaça aussitôt. Qui pourrait bien le suivre, si près de chez lui, sur son territoire ? Quel inconscient le surveillait, alors qu'il pouvait faire venir une infinité de renfort s'il le voulait ? Quel idiot pensait qu'il pouvait l'avoir, si facilement ? Il était Braam Osoryd. Certainement le meilleur guerrier des quatre nations actuellement. Il fallait être fou. Il attira l'imposteur plus près de sa demeure où il connaissait chaque recoin, chaque buisson et chaque courbe. Il se glissa dans le creux d'une porte et attendit d'entendre des pas, s'extirpa rapidement dans un timing parfait et attrapa par les deux avant-bras l'inconnu masqué. Il ne put à peine dire un mot qu'il le retourna avec adresse, l'empêchant ainsi de bouger. Un sourire satisfait se dessina sur ses lèvres.

- La discrétion ne suffit pas. Déclara-t-il, joueur, alors qu'il balaya la ruelle du regard. Ils étaient seuls. Braam retira son masque à l'étranger. Oh. Il ne put masquer sa surprise lorsqu'il reconnut les traits de la brune qui se tenait devant lui. Atalante. Vérifiant à nouveau que personne n'avait vu la scène, il la força à le suivre, la tenant toujours dans une position douloureuse qui l'empêchait d'utiliser ses bras, et ils s’engouffrèrent dans la maison Osoryd, par la porte en bois qui menait aux cuisines, à l'opposé de l'entrée principale. A cette heure-ci, personne n'y travaillait encore. Qu'est-ce que tu fais là ? As-tu perdu la tête ? Demanda-t-il en la relâchant, cependant toujours sur la défensive, près à riposter à la moindre attaque. Il connaissait très bien cette femme, et il savait qu'elle pouvait être imprévisible. Dans un autre contexte, il aurait été plutôt amusé de ces retrouvailles. Savait-elle cependant à quel point sa tête était mise à prix, dans tout le Royaume ?


Dernière édition par Braam Osoryd le Mer 9 Aoû 2017 - 19:11, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: there's a revolution coming. (braam/atalante) there's a revolution coming. (braam/atalante) EmptySam 5 Aoû 2017 - 21:10

braam & atalante
(by anaëlle)

Elle avait du mal à y croire. Car c'était pour elle, impensable. Avaient-ils fait une erreur en donnant à Rei un poste avec de telles responsabilités à à peine vingt-quatre ans ? Atalante se le demandait à présent avec plus de doutes qu'elle ne l'avait fait lorsque Johann avait promu sa fille à ce poste là. Elle était jeune et jouait dans la cour des grands depuis peu, quant à Atalante elle connaissait mieux que personne le gouvernement et les requins qui y évoluaient pour avoir été la représentante de la nation de l'eau. L'un de ces requins n'était autre de Braam Osoryd. Et lui, elle le connaissait plus encore que les autres pour avoir naïvement partagé ses nuits durant de longues années. Un amant qu'elle avait jusqu'ici tenu secret et qu'elle avait quitté presque à contre coeur lorsque la lutte de la résistance prit un nouveau tournant. Plus intense. Et le croiser sur le champ de bataille avait suffit à lui ouvrir les yeux sur une réalité qu'à l'époque elle avait voulu ignorer : celle qu'un jour au l'autre ils finiront par se tuer, camps opposés. Alors mettre un terme à leur relation avait été une décision sage, réfléchie et dure à prendre. Elle leur faisait à ce moment là, un cadeau à tous les deux. Cela avait été difficile, mais elle avait fini pas se détacher de lui. Et depuis, la guerre entre leurs camps s'était irrémédiablement exacerbée suffisamment pour lui faire oublier toute la tendresse qu'elle avait eu pour lui. Leurs nuits partagées n'étaient plus que de flous souvenirs, des moments chimériques teintés d'une passion qu'elle repoussait aujourd'hui pour se concentrer sur ce qui était devenu son but ultime : libérer le royaume de l'impératrice.

Il était entré en contact avec sa famille. Avec sa chaire, son sang. Il avait parlé à Rei s'en était trop approché et après avoir perdu Aymeric, Atalante s'était promise de ne perdre aucun autre membre de sa famille. Encore moins aux mains d'un garde royal. Alors après avoir exprimé son refus le plus total pour se lier à cet homme vis-à-vis de la résistance, elle était partie, furieuse. Car elle savait que Rei ne l'écouterait pas, c'était dans sa nature. Braam, par contre, elle espérait se montrer suffisamment claire pour qu'il ne s'approche plus de sa nièce. Et s'il avait encore le moindre respect pour elle, pour ce qu'ils avaient été, alors peut-être l'écouterait-il. Dans le cas contraire, le moment qu'elle avait longuement repoussé était peut-être finalement venu. Celui qu'elle avait toujours redouté, celui qui l'avait poussé à rompre. S'il fallait qu'elle le tue pour assurer la sécurité de sa famille, alors elle le ferait. S'en voudrait, sans aucun doute, mais le ferait tout de même. C'était la guerre. Pas un jeu.

Elle avait voyagé de nuit, parce qu'elle se doutait qu'il n'avait pas changé ses habitudes. Véritable spartiate, dieu de la guerre, il était d'une éducation militaire et froide. Alors s'il était bien ce soldat qu'elle avait fréquenté, les matins lui appartenaient. Une fois à Launondie, elle avait suivi sa trace. Tout de sombre vêtue, un masque noir de jais sur son visage recherché et traqué dans tout le royaume. Elle était une ombre. Furtive et discrète. Et lorsqu'elle le croisa enfin sur ce même chemin, elle ralentit le pas. Il ne lui fallut pas longtemps pour savoir où il se dirigeait : chez lui. Un endroit qu'elle connaissait bien pour l'avoir visité au crépuscule et quitté à l'aube avant que les oiseaux ne dispersent leurs viles rumeurs. Plus qu'une rue et ils seraient dans la sienne mais lorsqu'elle s'y engouffre en longeant les murs il n'y a personne. Ses pas ralentissent, son pouls se fait lourd tout comme sa respiration : elle est sur ses gardes, comme une lionne qui s'apprête à chasser mais c'est lui qui la prend par surprise. Un soupire lui échappa lorsqu'il la maîtrisa sans plus de douceur, dans la brutalité qui lui était propre à présent. "La discrétion ne suffit pas." ça n'était pas son but. Si elle était venue, c'était pour le confronter. Alors elle se fait malléable, se laisse faire sans gigoter, le laisse avoir le dessus ses mains entourant fermement ses poignets. Atalante ne lui répondit pas, se contentant de le toiser de ses yeux noirs et lorsqu'il ôta son masque son visage était de marbre, un regard presque satisfait dans ses yeux. "Oh, Atalante." elle reste silencieuse, le fixant d'un regard brûlant alors qu'elle humidifie ses lèvres les mâchoires serrées. Fière. Se retrouver si proche de lui après toutes ces années à l'éviter pour repousser l'ultime échange avait un goût étrange. Il la poussa à l'intérieur sans plus de cérémonie, mais elle ne s'était attendue à rien de plus de sa part après tant de temps. " Qu'est-ce que tu fais là ? As-tu perdu la tête ? " il la relâche enfin et elle se masse les poignets le faisant attendre plus que de mesure. "Bonjour Braam." qu'elle répond sans sourire. Être ici ne lui plait pas, car elle a beau avoir connu Braam ce dernier a certainement changé. Tout comme elle, a changé. Et seuls les dieux savent ce qu'il pourrait faire, bien que le fait qu'il ne l'ait pas encore tué la rassure un peu. Juste assez pour qu'elle ne tente rien d'agressif. Pour le moment. La belle reste sur ses gardes et détaille du regard le soldat, essoufflé. Certainement par son jogging matinal. Un sourire apparaît l'ombre d'un battement de cil sur ses lèvres. Il n'avait donc pas changé sur ce point là. Mais son regard se fait plus dure alors, elle n'est pas là pour constater des changements ou pour faire la conversation. "Tu as dépassé les bornes." dit-elle durement alors qu'elle plante son regard dans le sien. "Aymeric ne vous a pas suffit ? Rei est la suivante ?" sa voix comme un grognement alors que la colère s'insinue peu à peu dans ses veines. Alors elle s'approche de lui lentement, marquant ses pas durement dans la pierre dont est fait le sol de la cuisine. "Ne t'approche plus jamais de ma famille, Braam." elle marque une pause alors qu'elle s'arrête tout près. "Si tu touches à un de ses cheveux, tu le regretteras. Tu m'entends ?" Et venir ici, alors que sa tête était recherchée dans tout le royaume, montrait l'étendue de sa détermination lorsqu'il était question de la sécurité de sa famille.


Dernière édition par Atalante Osanos le Mer 9 Aoû 2017 - 22:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: there's a revolution coming. (braam/atalante) there's a revolution coming. (braam/atalante) EmptyMer 9 Aoû 2017 - 19:10

braam & atalante
(by anaëlle)

Braam n'était pas un homme romantique ; il n'avait jamais entretenu de relations à l'eau de rose, n'en vivrait certainement jamais. Indépendant, brutal, c'était un guerrier qui connaissait l'amour mais qui ne savait le retransmettre, et encore moins en affection, douceurs et autres curiosités de ces beaux parleurs. Lui n'avait connu que les glaives et les boucliers, n'avait jamais appris à manier les mots et encore moins ceux qu'on disait aux femmes. Brutal, la tendresse lui était bien inconnue et pourtant, il avait eu une liaison avec Atalante. Il lui semblait qu'il se retrouvait un peu en elle ; c'était une femme forte et battante, une leader qui menait des troupes enragées et qui n'avait pas peur du danger. Il la respectait, l'admirait pour cela. Une femme méritante, à la loyauté qui se tournait vers sa famille - Braam aimait cela. L'idée d'avoir partagé un peu de bon temps avec cette femme lui arracha un sourire amusé, presque fier ; il ne se souvenait pas avoir ressenti de forts sentiments pour la brune, mais une passion électrique, un désir ardent les avaient animés, attirés comme des aimants, inévitablement. Il était rare que Braam s'attache à une femme, lui qui s'adonnait volontiers aux plaisirs de la chair sans scrupule, voyant le corps avant les yeux et avant l'âme ; Atalante avait été l'exception. Elle l'était toujours. La seule qui avait encore le don de le surprendre, malgré la rupture, malgré la déception ou la colère, la fierté blessée. Même dans le secret de leur relation, il n'avait pas apprécié que l'Osanos y mette un terme. Braam était un homme autoritaire, à la masculinité affirmée ; un instinct protecteur et un certain gout pour le défi, surtout en matière de femmes fatales. La colère dansait dans ses yeux et il la reconnaissait bien là. « Tu as dépassé les bornes. » Déclara-t-elle amèrement en plantant ses iris dans les siennes. Si un regard avait pu tuer, Braam serait déjà au sol. Il recula d'un pas, fronçant les sourcils. Où voulait-elle en venir ? Qu'avait-elle à lui reprocher ? Cela faisait plusieurs mois qu'ils ne s'étaient pas parlé, pas vu, il lui était arrivé de penser un peu à elle. De se demander où elle était, si elle était encore vivante. Si un soldat l'avait arrêté, il aurait immédiatement été mis au courant. « Aymeric ne vous a pas suffit ? Rei est la suivante ? » A l'entente de ce prénom, Braam se crispa, redressa le regard. Rei était-elle blessée ? Un soldat l'avait-il trouvée, capturée ? Pourquoi n'était-il pas au courant ? Si elle s'était montrée particulièrement hostile à lui au début de leur dernière rencontre, il n'en restait pas moins préoccupé par les yeux de la belle, qui hantaient ses pensées et son sommeil. « Qu'est-ce que... » Elle ne lui laissa pas le temps de finir, s'approchant d'un air menaçant. Pensait-elle réellement pouvoir lui faire peur ? Braam ne bougea pas d'un millimètre, gardant son regard impassible sur le visage d'Atalante. « Si tu touches à un de ses cheveux, tu le regretteras. Tu m'entends ? » Ne savait-elle dont pas qu'il était particulièrement dangereux de menacer un Osoryd ? Surtout s'il s'agissait de l'aîné, connu pour être le meilleur combattant des quatre nations réunies, prodige des armes blanches, petit génie de stratégie guerrière. Si ça n'avait pas été Atalante, s'il n'aimait pas cette dévotion qu'elle avait pour sa famille, si elle n'était pas déjà recherchée par tout les soldats du Royaume, il l'aurait déjà pulvérisé sur le champ. Ses accusations le dégoutaient, et pourtant il ne pouvait pas lui en vouloir malgré la colère qui montait en lui ; elle n'était pas censée savoir qu'il partageait la même vision du monde qu'elle, qu'il n'espérait qu'à un Royaume plus juste où le sang, la nation, les aptitudes, ne détermineraient pas le rang social dès la naissance, lui aussi. Rei avait vu cela en lui. « Est-ce que tu penses réellement que j'ai quelque chose à voir avec la mort d'Aymeric ? » La vérité était qu'il n'avait aucun lien avec cet assassinat, même s'il avait sa petite idée des coupables. Elle le mettait dans le même sac que les autres. Cependant, elle était venue le menacer, à quelques centimètres de son visage seulement. C'était un affront qu'il ne pouvait oublier si rapidement, et c'était un Braam bien plus joueur et agressif qui s'éveillait-là, son regard était dur et perçant, son attitude droite, stable, militaire. « Et qu'est-ce qui te dit que ce n'est pas elle qui est venue me chercher ? » Demanda-t-il sur le ton de la malice. Elle voulait jouer ; ils allaient jouer. « Peut-être même que je lui plais ? » Il s'écarta de quelques pas, les sous-entendus cachés dans le regard. Elle le connaissait, elle s'était déjà attaché à lui ; pourquoi l'idée que sa nièce le puisse elle aussi était impossible ? Rei n'était pas un jeu pour lui. Loin de là. Des intentions bien plus pures l'animaient lorsqu'il pensait au doux visage de la jeune Osanos. Mais aujourd'hui, elle était un parfait prétexte pour faire enrager sa tante. De la même manière qu'Atalante quelques instants plus tôt, il approcha ses lèvres de son oreille, murmura quelques mots avant de s'en éloigner aussitôt. « Ne t'avise plus jamais d'essayer de me menacer. »
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