| | [F/LIBRE] JESSICA CHASTAIN - And all that was real is left behind | |
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| Sujet: [F/LIBRE] JESSICA CHASTAIN - And all that was real is left behind Jeu 14 Juin 2018 - 21:19 | |
| narcisse grimsrud one garden, two serpents : eve never stood a chance. (auteur/source citation) prénom, nom ‹ narcisse, le vivant d'un mythe. belle créature dont l'appellation lui rappelle inlassablement sa beauté divine, sa fougue charnelle. la pureté et l'incandescence ne portent qu'un seul nom. et d'une telle enfant, le destin décidera de la lier à cette nouvelle noblesse, les grimsrud. âge ‹ trente-sept flammes soufflées dans sa grâce la plus fantastique date et lieu de naissance ‹ quelque part, dans la contrée du feu. firekiro ou ailleurs. statut matrimonial ‹ épouse damnée, fleur poison. elle s’égare dans le néant d’un mariage feint et d’illusions précaires de bonheur. sang ‹ c’est par la grâce du temps que son carmin s’est anobli. d’une vaine créature à une princesse enflammée, la lionne balaie désormais ses pas de sa nouvelle noble cadence. métier ‹ réponse ici. adiutor ou Maître ‹ réponse ici. pouvoir ou élément maîtrisé ‹ feu, étant native des terres brûlées de flamaerin. pour le reste, il faudra lancer les dés. allégeance ‹ réponse ici localisation actuelle ‹ réponse ici avatar et crédits ‹ jessica chastain, négociable - havana | | | | (background) Elle est née princesse, elle a grandit reine et mourra déesse. Tendre illusion que la divine créature se plaît à entretenir. Fille unique, elle ne connaît rien du partage fraternel mais plutôt du concentré de sentiments pures et profonds que les géniteurs portent au fruit de leur amour. La belle enfant, déployant sa chevelure incandescente vivra une belle épopée, bercée par la grâce de son seigneur. Maison de bonne fortune, l’argent coule à flot dans cette bicoque cossue. Mais c’est parce qu’elle a toujours reçu attention et complaisance qu’elle se rêve de plus. Son ambition dévore son innocence et arrivée à âge mature, elle se promet à son prince. Lionne, elle se destine à la grandeur car elle se sait victime d’un destin éloquent et faste. Sa main incandescente se pare d’un gant de velours car ses coups n’en seront que plus élégants. La femme forte se déploie plus encore quand vient le temps du mariage. Ententes familiales, alliance déguisée et avenir incertain. C’est un jeu où femme et homme se vendent, parient leurs corps pour des gains futurs espérés. Narcisse, cette poupée dantesque se lie donc à cet homme qu’elle ne connaît que de faciès, que de famille. La lionne ne tremble pas, elle relève son port de tête et dévoile ses crocs. Époustouflante. Rien ne perturbe ses traits gracieux et son regard céruléen. Narcisse mène sa propre vie comme si elle l’eut créé elle-même et elle se meut dans une aisance folle et parfaite. Dans cette valse à milliers de temps, elle place ses pions furtivement. (en édition)
(as a woman) elle considère sa condition de femme comme une bénédiction. Loin du tumulte des hommes, elle est persuadée que l’avenir d’une paix formidable ne peut être l’effort que d’un être de son genre. La princesse s’entiche donc de l’idéologie du cercle, comme bien d’autres avant elles. Son ambition personnelle lui dévore l’esprit, lui joue des tours et des hallucinations quand elle s’imagine sur un trône. (as a wife) dévouée, la princesse s’est entiché de celui qui se dit être son époux. Epoux par lequel elle a su gagner son titre de noblesse. Il n’est question d’un amour pur et profond, de celui qui nous contamine à l’âge où l’innocence tarde à s’évaporer et lorsque l’amour tombe si brutalement qu’il pétrifie le cœur de ces damnés. C’est un amour plus lancinant ; une obligation conjugale qui répond à ses désirs ambitieux avant de se muer en un amour plus sourd. Aedan est à ses yeux un parti formidable qui a su gagner respect et confiance. Il est à sa hauteur, comme elle aime si bien le décrire. Son faciès viril qui se tord en une expression infiniment sage a le don d’adoucir la lionne. Leurs âmes sont liées, ce duo infernal qui semble maîtriser à la perfection le jeu du faux et du vrai. (as a mother) deux enfants, deux filles. La matriarche n’aurait pu chérir plus encore ces deux êtres. Mais c’est le destin qui lui arrache la première et qui lui vaut la mort d’une partie d’elle. A jamais éteinte, elle tombe dans le néant écarlate de la déchéance. La douleur broie ses sens, aveugle le peu d’humanité qui lui reste. Et de cette dernière fille qui lui reste, elle devient enragée. L’unique
(temperament) altière, intimidante, ambitieuse, féroce, charismatique, éloquente, maternelle, forte, dévouée, stratège, charmeuse, fière, cruelle. . aedan grimsrud et narcisse grimsrud époux ‹ résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé résumé - Spoiler:
Un claquement. Celle d’une gifle présomptueuse. Mais elle passe inaperçue, comme d’une caresse vive qui s’effaçait déjà dans le lointain. En ce bas monde, elle représentait le seul être à œuvrer de cette manière avec lui. Elle était un unique délice qui ne faiblissait jamais et dont Aedan ne pouvait se lasser. Une eau calme mais trouble. « Comment oses-tu prononcer chose pareille.. » Des paroles prononcées comme le glas d'un réveil funeste. La réaction est sans attente, il apprécie. Se redressant aussi brusquement que ses paroles furent prononcées, Aedan observe sa douce d’un œil méfiant ; il s’attend à recevoir un autre coup divin. Mais que nenni. Cette voix tremble sous l’émotion vive et ardente, sous la fureur d’une femme fière mais brisée. « Nous aurons d’autres enfants, j’en suis certaine. » Elle n’y croit pas, trop peu. Mais Narcisse se tient là, face à lui ; de sa beauté qui flamboie aussi follement qu’une flamme au vent, elle est cette lionne qui se consumera par sa propre folie. Son épiderme brûle encore doucement sous la caresse enflammée qu’il venait de recevoir et pourtant, c’est un rictus qui s’amourache lentement de ses lèvres. Ce terrible rictus, celui d’un mâle empli d’une compassion dérangeante, feinte. Un râle s’échappe de ses lippes presque closes avant qu’il ne daigne encore répondre. « Pourquoi refuses-tu de te rendre à l’évidence ? » Il souffle un rire désabusé, quoi qu’amusé par la détresse de sa moitié. « Pourquoi diable essaie tu encore de t'accrocher à ce qui n'existe plus ? » Sa voix roule délicieusement, atrocement. De son timbre guttural, il a ce ton bienveillant, ce diable au corps qui le rend si malsain. Son faciès se tord d'une pérennité étonnante quand alors sa voix se perd entre palabres néfastes. « Cesse de te flageller de la sorte, ma douce, ce spectacle m’est insupportable. » Elle ne rétorque rien, grondant doucement derrière ses lippes scellées. Face à lui, elle se tient prête à bondir de nouveau sur cet époux qu'elle méprise et idolâtre en même temps. Un époux noble et droit dont elle se méfie pourtant des retords pervers. Le charme opère, le vice s’imprime. « Par deux fois, nous avons été bénis.. » Il s’approche lentement tout en gardant cette douceur infinie. « .. mais hélas, cette bénédiction n'a pas duré. » La voix calme tombe dans l’oubli, la réminiscence de cette perte tragique réveille en lui sentiments primitifs et perversité malsaine. Pourtant le faciès impassible, il ramène son épouse contre son torse. Il se passe encore un instant. Un instant latent et l’un et l’autre gardent mutisme. « Aedan, laisse nou.. » Elle s’interrompe quand les mains de son époux emprisonne brutalement ses bras, la ramenant face à lui. Ses yeux azurs brûlent désormais d’une fureur sombre, d’une violence primitive, animale. Sa mâchoire se contracte en un spasme et de sa haute stature, il la toiserait presque de son ascendant divin.
« Rien ne remplacera notre fille, est-ce bien clair ? Ou peut-être es tu bien trop sotte pour le comprendre ? » Dans un mouvement brusque, il emprisonne son cou dans sa main calleuse et resserre doucement sa prise. « Je commence à en avoir assez de tes espoirs vains et de ta niaiserie insupportable. » Sa voix siffle et roule sous le tonnerre de sa colère. L’atmosphère oppresse ses occupants, crépite sous les sentiments mauvais de son hôte. Le béni hurle son désespoir et sa rage, se déchaîne dans une cadence burlesque. La lionne voit valser ce masque de sagesse qui incendie le démon dont elle s'entiche. L’air crépite presque, il semblerait qu’il se déchire en des milliers d’éclairs. « Tu n’es rien femme, si ce n’est une catin qui peine à donner la vie. » Abjecte personnage qui danse sur les cendres de son ancienne humanité. Loin des yeux du peuple, il se donne joie à libérer sa nature primitive. « Rends-toi à l’évidence : tu n’es rien et le peu que tu puisses faire, serait de garder le silence. Qu’en comprendras-tu qu’entre nous, il n’y a jamais rien eu de véritable ? Pourquoi diable cherches-tu à trouver un sens à ta misérable existence quand il n’y en a aucun ? » Sa voix se pare délicieusement de dédain tandis que sa main prend plaisir à sentir les pulsations affolées de sa tendre. Il souffle un rire désabusé et lui chuchote enfin. « Tes courbes délicieuses ne compensent hélas, pas le reste. » L’enfant terrible se joue d’une ultime perversité dans sa malice insupportable avant de relâcher sa prise. Elle s’effondre, suffoque. Il soupire, presque de fatigue, désabusé par cet être qui gît à ses pieds et qu’il détruit par sa folie passagère. « Je te ferais payer ton immondice. » La lionne siffle bien qu'à terre et le souffle court. Sa chevelure écarlate embrasse son faciès comme si elle le consumait de rage. Aedan tarde son regard sur cette créature dont il connaît le danger. Il l'a savait capable des pires vices car derrière ce masque d'ange, se cache le même démon. Et c'est presque dans une mélancolie qu'il chuchote. « Et tu aurais bien raison.. »
Puis c'est le glas de l'horlage qui arrache cet homme à sa contemplation. « Tiens, il est déjà presque l’heure.. » Burlesque ironie quand sa voix arpente désormais le sentier de la surprise innocente. Rajustant proprement son habit, il se détourne prestement de sa douce pour prendre la sortie. Toutefois, il stoppe son élan. Daignant tout juste détourner la tête de biais, il lui enjoint. « Tu trouveras une tunique pourpre sur notre lit. Une tunique qui je suis sûr, saura mettre en valeur ta beauté délicate. Les invités n’en seront qu’émerveillés. » C’est ce sourire carnassier qui déchire son faciès, cette stature de noble qui la considère objet, cette insolence burlesque qui trahit le démon, cette sauvagerie apaisée qui le rend si mortel
. PINNED UNDER THE WEIGHT 2017-18 |
| | | Eva Solskien administrator‹ MESSAGES : 1177 ‹ AVATAR : PARK SOOYOUNG (JOY) ‹ CRÉDITS : AV/@FREESIA. ‹ COMPTES : YO, RK, EG, AK, SV.
‹ AGE : vingt-une jolies petites pétales, des sourires envoyés dans le vent, des rires qui s'accrochant à vos tympans. c'est une enfant, une enfant avec l'horizon dans les yeux, brillant par mille feux. au final, eva c'est qu'une jolie petite adolescente, l'innocence incarnée, estropiée. ‹ STATUT : mariée, il n'y a rien de plus ironique que l'amour, ce sentiment exécrable qui l'a anéanti. elle s'est mariée à lui, petite sotte, petite naïve; et il est parti, jouant de son charme pour la duper encore une fois. veuve dans l'esprit, la bague pourtant toujours serrée autour de son doigt. ‹ SANG : petite mêlée aux hémoglobines tentaculeuses. on lui dit vermine, elle répond d'un sourire malsain. parce qu'elle n'est ni rien, ni esclave. libérée, pourrie jusqu'à la moelle, personne ne s'élève au niveau de sa personne, pas même un quelconque maître. ‹ POUVOIR : orange, ucuc ‹ METIER : princesse ‹ ALLEGEANCE : kamikaze en mission solitaire, elle a appris à ne faire confiance à personne. seule, mais inclus dans des secrets qui ne devraient jamais être sien, elle était autrefois à la ligue, à présent elle n'est rien, qu'une boule de vengeance et de rage. ‹ ADIUTOR : elhara sorensen, deux biches égarées, deux âmes en péril et pourtant eva n'a jamais plus aimé que cette personne qu'elle se voit protéger. dépourvue de toute loyauté, de toute patience, eva elle l'aime pourtant d'un amour si pur, si miséreux. elhara c'est son étoile, et quiconque souhaiterait lui faire du mal, terminera égorgé sur la chaussée.
| Sujet: Re: [F/LIBRE] JESSICA CHASTAIN - And all that was real is left behind Jeu 28 Juin 2018 - 13:33 | |
| Tu as dépassé le délai imparti pour terminer ton scénario. Il est donc archivé, mais dès qu'il est terminé tu peux envoyer un mp au @Master of the game pour qu'il soit remis à la bonne place. |
| | | | [F/LIBRE] JESSICA CHASTAIN - And all that was real is left behind | |
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