pseudo et prénom ‹ moi, moi. âge ‹ dix-neuf ans. comment as-tu trouvé le forum? ‹ bazzart et une certaine personne. *wink wink* pays ‹ france. fréquence de connexion ‹ quotidienne ou au moins deux fois par semaine. votre avis sur le forum ‹ hors-sujet mais je me tape une phase sur le mot 'mêlé', ça me fait rire. voilà, osef. sinon le codage, design je pleure. bref, je pleure. smiley préféré‹       gif qui décrit le mieux votre personnage‹

Spoiler:

La mère mer. Femme qui perd les eaux mais les contrôle également. Elle donne naissance à trois enfants. Des jumeaux et une petite fille. Irsen, Isidor et Isem. Trilogie, famille équilibrée. La vie est simple. La famille Saito vit dans la région d’Aquarui. Lieu bercé par la glace et le feu, c’est contradictoire sur ce territoire. Aussi glacé que brûlé, à l’opposé tout comme Irsen et Isidor. Ils ont partagé un ventre pendant neuf mois. Peut-être y a t-il eu un combat. Chacun sa place, chacun sa personnalité. Si Irsen est le plus réservé au début, c’est parce qu’Isidor est exubérant. Âge de cinq ans, le pouvoir laisse entrevoir les premiers effets sur l’enfant. Irsen, Isidor. Les jumeaux découvrent un autre monde. Le cadeau maternel leur apparaît enfin. Maintenant, il n’y a plus rien d’abstrait. Tout se concrétise un instant. Tentatives de maîtrise, instant comique. Le regard d’une mère alors que les bras des enfants s’essaient devant le lac. Elle sourit, peut-être se revoit-elle. Impossible de savoir ce qu’il passe par la tête de cette femme. Elle contrôle tout, sa maîtrise d’elle-même est exceptionnelle. Elle a le contrôle. Et ce n’est pas le cas des jumeaux. Si Irsen échoue à cause de la joie, pour Isidor c’est la colère. De fortes émotions pour tous les deux mais chacun la sienne. Isidor, le capricieux. Irsen, le joyeux. Jeux d’enfants mais ça doit cesser.

Yeux rivés sur le cours d’eau, les années passent. Les traits se tassent. Les enfants grandissent, jolie famille. Tableau réconfortant, chaleureux lorsque l’extérieur est glacial. Sourires enflammés pour tempérer. Et le temps passe, comme l’eau dans les fleuves ; il s’écoule.

Onze ans. L’âge atteint bien trop rapidement. Ils ont grandi vite. Famille unie, toujours là les uns pour les autres. Les années ont défilé, l’élément s’est fait oublier. Sauf qu’il est temps de le réveiller. De cinq, ils passent à trois. Foyer déserté, un seul enfant en son sein. Petite fille, elle fait signe à ses frères. Père, Mère font de même. Mains qui se tendent, ils s’enlacent. Se sourient. Cette année, Irsen et Isidor manqueront probablement le festival d’hiver. Les anniversaires aussi. Tout s’efface, les obligations se remplacent. Direction l’académie de Koldoveretz. Île lointaine, nouvelle terre à conquérir. Et d’autres devoirs se profilent, celui de réussir en est le meilleur exemple. Irsen et Isidor ne savent pas quand ils rentreront. Les congés arriveront plus tard. Sauf qu’à deux, ils restent une famille. Leurs terres leur manqueront tout de même. Les visages souriants de leurs parents aussi, le rire de leur petite sœur également. Pourtant, ils partent. Il n’y a pas d’autre choix.

Académie de Koldoveretz. Nouveau paysage, nouveaux visages. Et les yeux d’Irsen dévient souvent vers la même personne. Premier regard et tout s’éclaire. Il y a quelque chose. Une connexion, un fil invisible qui les relie. C’est tout naturellement qu’ils se rapprochent. Amitié étrange, des regards trop intenses. L’eau et le feu, ennemis mais qui se complètent d’une certaine manière. Entre eux, c’est différent. Enfin, c’est comme ça qu’Irsen le ressent. Cette amitié, c’est un mensonge. Surtout parce que les sentiments changent. Ils se transforment, comme Irsen et Junsu. Ils grandissent, évoluent. Eux aussi. Au fil des jours, cette relation devient évidente. Elle est concrétisée par un premier baiser alors qu’ils n’ont que quinze ans.

Vient ensuite le secret, le leur. Relation interdite. Rien ne va dans leur sens. De sang différent. Junsu est d’argent, Irsen de bronze. De feu et d’eau. Beaucoup y verraient une incompatibilité. Pourtant, le feu fait fondre la glace ; comme Junsu avec Irsen. Et ils vivent de murmures, de regards prohibés, de caresses condamnées. Amour banni mais il perdure. Sortie de l’académie, ils sont toujours ensemble.

Direction la révolte. Irsen et Isidor suivent les traces, les pensées de leur mère. Ils sont d’accord, ils veulent un autre monde. Et Junsu est avec eux. Irsen ne l’a pas perdu. Pas encore. Il ignore que c’est la dernière fois qu’il tiendra sa main en chuchotant l’interdit.

2163. Les résistants sont dans la capitale. Le combat commence. Chacun défend son camp. Tout va vite, trop vite. Irsen est avec son jumeau. Isidor, l’impulsif. L’insensé, il a la rage de vaincre.  Mais cette fois-ci, il sera vaincu. Les yeux d’Irsen cherchent le mêlé de son frère. Il ne le voit pas. Non, c’est une vision pire que l’absence qui l’attend. Un bruit sourd. Un corps qui claque, qui tombe sur le sol. Celui de son frère. C’est lui, lui par terre à l’agonie. Et Irsen ne comprend pas. Il ne réalise pas. Un cri retentit, le sien. Il a l’impression que c’est lui qu’on vient de tuer. Une partie de lui. Il ne pense pas, il attrape juste ce corps sans vie. Il le serre, fort. Trop fort. Il est mort. Irsen n’a que la haine. Tout lui paraît si irréel. Si faux, c’est comme un cauchemar dont il voudrait se réveiller. Et alors qu’il tient le cadavre, ses yeux perlés de larmes croisent un visage. Junsu. Junsu et ses mains pleines de sang. Junsu qui le fixe, Junsu qui est vivant alors qu’il a tué. Le mêlé de son jumeau, comment n’a t-il pas pu le reconnaître ? Irsen sait. Et tout amour semble être surpassé par la haine, la colère et la peine. Il dépose le corps sur le sol avec tendresse et puis tout devient presque flou. Il se rue sur Junsu et ses poings se déchaînent. Pluie de coups, de cris. Il frappe, il veut rendre la douleur au centuple. Mais rien n’y fait, il a toujours ce trou béant dans sa poitrine. Ce vide. Et Junsu s’évanouit. Irsen aurait bien voulu être à sa place. Il vient de voir le pire tableau possible, celui dans lequel l’homme qu’il aime tue une partie de lui, un jumeau chéri. Le sang coule, que ce soit le sien ou celui de Junsu. Irsen en a partout. Mélange du sien, de son frère et de Junsu. La vie est monstrueuse.  

2164. Des excuses mais tout n’est que mensonge. C’est une vérité qu’il ne fait qu’inventer. Irsen n’y croit pas un mot. Pour lui, Junsu n’est qu’un traître. Un menteur, un moins que rien. Quelqu’un à haïr, à détester autant que possible. Et il se complaît dans cette idée. La peine est trop grande, trop brûlante. C’est une cicatrice du passé, une marque indélébile. Mais la vie continue, tant qu’Irsen respire il vit. Pourquoi alors à chaque respiration a t-il l’impression de mourir ?

Tu as le pire derrière toi, ta fiche est terminée, bouclée et surtout validée, il est donc temps de se lancer dans l'aventure tête première sans réfléchir aux conséquences. Oui, pas le choix. Je trouve que ta fiche était:

non mais pareil que pour ivana du coup
je suis mourrue sous les feels c'est plus possible ça

j'adore trop, my god ce personnage, et ta plume, et...sdffgdfg
So gg et félicitations.

Maintenant que tu es un elfe libre, tu peux te promener un peu de partout sur le forum, mais avant tout tu dois te recenser parce que même si c'est chiant, c'est forcément nécessaire. Pour recenser ton métier tu dois te rendre dans ce sujet. Il faut aussi que tu recenses le statut de ton personnage s'il est maître ou adiutor concernant les duos qu'ils forment. Tu peux le faire ici. Si ton personnage fait partie d'un mouvement contraire, tu peux l'inscrire au registre en te rendant ici. Maintenant que la partie administrative est terminée, tu peux désormais poster ta fiche de liens dans cette partie et te rendre dans la partie roleplay pour y trouver les missions et les demandes de rp Tu peux aussi poster un scénario ou un pré-lien à cet endroit Enfin pour terminer tu peux aller te lâcher dans le flood autant que tu veux Et aussi en rp ofc Tout ça t'apporteras pleins de points, que tu peux recenser par ici.
BON JEU ET AMUSE TOI BIEN SUR PUTW.