pseudo et prénom ‹ emily âge ‹ dix-neuf comment as-tu trouvé le forum? ‹ sur bazzart pays ‹ france fréquence de connexion ‹ 25h/24, 8j/7 votre avis sur le forum ‹ je suis absolument éblouie et je pense que je vais écrire le double de ce qu'il a déjà dans ma présentation rien que pour dire à quel point je suis SUR LE CUL. j'adore le worldbuilding et pour le coup, je suis servie. PUTAIN QUOI la quantité de détails m'a donné un de ces mal de crâne, mais alors. bravo à vous parce que votre travail est phénoménal et j'ai envie de commencer 1000 comptes à la fois pour jouer sous tous les angles du contexte smiley préféré‹   gif qui décrit le mieux votre personnage‹

Spoiler:

il y a tellement de questions qu’ahuva aimerait poser. d’abord, elle commencerait par, “est-ce que tu le voulais?” (le poids de son corps sur le sien, main autour de la gorge, l’étreinte de l’amant diabolique, celui qui ne réfléchit pas, celui qui choisit et qui agit, sans penser une seule seconde, sans états d’âme, sans même la regarder les yeux. les insultes qui fusent et les coups qui blessent. les mots aussi. elle crie et crie et crie, vide ses poumons à s’en étouffer, crie jusqu’à ce que les étoiles entendent son appel à l’aide, et la lune pleure pour elle, la lune pleure avec elle. elle voulait pas, elle veut pas, qu’est-ce qu’elle fait là, pourquoi elle, pourquoi moi?) “est-ce que tu voulais de moi?” (elle se cache pour dégueuler, son ventre une honte, son corps, souillé. elle sait que ça a signé son arrêt de mort, elle sait que pour elle, c’est fini. y’avait pas grand chose avant, mais c’est pas comme ça qu’elle l’imaginait, sa mort, pas ainsi. pas aussi douloureuse. elle pleure tous les soirs et supplie le ciel de la pardonner, que les anciens comprennent. elle leur demande s’ils voudront bien la prendre dans leurs bras, une dernière étreinte, la protection éternelle. elle se demande s’ils auront pitié d’une trainée comme elle. une moins que rien.) “est-ce que tu m’as aimée?” (ça ressemble pas à un humain, ça. c’est pas ce qu’elle imaginait. c’est un cadavre, un tout petit cadavre devant ses yeux, si fragile, si vulnérable. elle le déteste. elle le hait. elle comprend que c’est une fille et elle se dit qu’elle vivra le même sort tragique, alors à quoi bon la faire vivre? elle décide de la laisser, dans cette petite pièce abandonnée. elle mourra. elle serait morte de toute façon. et puis elle la dégoûte, son petit corps tâché de pourpre et d’amarante, sa peau grise, elle est sûrement déjà morte, elle s’en fout, elle veut pas savoir. elle entend pas de respiration, ou peut-être bien qu’elle s’en convainc elle-même. le problème, c’est pas ça. le problème, c’est sa survie. à elle. pas à ce bébé. il sera mieux aux cieux. là-bas, on lui fera pas de mal.)

“est-ce que tu as regretté, de m’abandonner?” (quelques jours plus tard, grands bruits dans le domaine. on aurait retrouvé un bébé. mourant, dévoré par les insectes, une sorte de monstre, difforme, respiration difficile, yeux à peine ouverts. elle sait pas pourquoi on a le lui ramené. ça méritait de crever. et puis quelque chose en elle change. un déclic. c’est pas de l’amour, c’est de l’instinct. à partir de maintenant, elle va le protéger. s’il est pas mort là dehors, c’est qu’il tiendra bon dans ce monde. alors peut-être qu’il mérite une chance. pas de sa part, non. mais de l’univers.) “et puis quand t’es morte, c’était de ma faute? c’est moi qui t’ai fait fuir? j’étais trop difficile, je pleurais trop, je refusais de manger?” (ahuva, sa mère ne s’y intéressait pas. c’était une histoire de coeur. une sorte d’aventurier, un arnaqueur, un marchand de pierres précieuses. il lui avait glissé des mots doux et elle était tombée sous son emprise. et puis quand il est parti sans un mot, elle a décidé que ça en était trop. elle travaillait à la cuisine, alors le couteau à viande semblait être le moyen le plus facile. elle est morte rapidement. ahuva l’a retrouvée dans son bain de sang, l’a dorlotée, lui a murmuré des mots d’amour, de réconfort, lui a dit que tout irait bien. pas assez noble pour être enterrée, elle a été nourrie aux cochons le lendemain matin.)

elle aimerait demander à alix, “comment tu m’as reconnue? c’était mon nom ou quelque chose de plus, quelque chose de cosmique entre nous, une sorte d’évidence gardée en secret?” (avec les mêmes yeux et le même sale passé, ça faisait pas de doutes. et puis le nom, ce putain de nom. mais y’a rien de cosmique, ahuva. l’univers ne tourne pas autour de toi, et il ne cherche certainement pas à t’aider. alors ces retrouvailles, c’était du pur hasard. le peu de chance qu’on t’a accordé. c’était ta chance. la seule et unique. à partir de là, il faudra se débrouiller.) et puis à tous les autres gamins, “pourquoi moi? pourquoi vous m’avez frappée? j’étais une victime facile? c’était ma tête, mon nom, parce que je suis une bâtarde, une cible facile, une manière de se défouler, la frustration de votre propre vie, parce qu’ici, on est tous des mêlés?” (elle se laissait faire, trop souvent. elle avait peur du sang et peur de la violence. comme si les cris de sa mère cette nuit là résonnaient encore dans sa tête. comme si elle avait déjà fait assez de mal dans sa vie. en naissant, en vivant. alors pourquoi en infliger encore plus? les autres gamins frappaient en retour, insultaient, fuyaient. ahuva, elle acceptait. elle se disait que c’était sûrement ça, sa destinée.)

mais avant tout, des larmes de rage au bord de ses yeux, elle aimerait crier à izolda “comment t’as pu m’abandonner comme ça? je sais qu’il y a plus rien entre nous, plus de lien, plus d’obligation. mais j’ai cru qu’il y avait quelque chose de plus.” (de l’amour. elle n’arrive pas à le dire, elle ne l’a pas connu avant. de la bienveillance, aussi.) “alors pourquoi tu me cherches pas? pourquoi t’envoies pas tes hommes? pourquoi tu me laisses disparaître comme ça, sans questions, sans inquiétudes? je sais très bien ce que tu penses. ‘elle fera pas long feu, là dehors. elle crèvera bientôt. c’est pas la peine de la chercher.’ eh bien détrompe-toi, izolda. parce que je compte revenir. et cette fois-ci, je veux des réponses.”

Et la guilde des chats swaggés t'accueille dans cette nouvelle aventure avec swaggance.
Tu as le pire derrière toi, ta fiche est terminée, bouclée et surtout validée, il est donc temps de se lancer dans l'aventure tête la première sans réfléchir aux conséquences. Oui, pas le choix. Mais avant, je vais te dire, je trouve que ta fiche était :
très agréable à lire, j'ai kiffé héhé
hâte de découvrir ce que va faire ahuva désormais qu'elle est un peu paumée vis à vis d'iz et les retrouvailles entre les deux sœurs el'rin
So gg et félicitations.

Maintenant que tu es un elfe libre, tu peux te promener un peu partout sur le forum, mais avant tout tu dois te recenser parce que même si c'est chiant, c'est forcément nécessaire. Pour recenser ton personnage, rien de plus simple, qu'il s'agisse du métier, du rôle dans un mouvement ou de son pouvoir, il suffit de te rendre dans ce sujet.
AND YOU'RE DONE !
(avec la partie admnistrative oui)


Maintenant que la partie administrative est terminée, tu peux désormais poster ta fiche de liens dans cette partie et te rendre dans la partie roleplay pour y trouver les demandes de rp. N'oublie pas d'ajouter ton personnage à la masterlist, pour que les autres sachent que tu es là! Tu peux aussi poster un scénario ou un pré-lien à cet endroit. Enfin pour terminer (pour de vrai) tu peux aller te lâcher dans le flood autant que tu veux ! Et aussi en rp ofc, parce qu'on est là pour ça après tout. Mais si le flood te fait un peu flipper, viens d'abord dans les floods d'intégration! Tout ça t’apportera pleins de points, que tu peux recenser par ici.
BON JEU ET AMUSE TOI BIEN SUR PUTW.