@rita kimora

L’iris s’étiole, et le temps semble se suspendre alors qu’il continue vicieusement de s’écouler. Dans la cage de métal, il y a les battements de cœurs qui éclatent contre les cloisons d’acier. Elle est la dague lui le poignard. Elle s’avance lentement et il ne sait pas si elle est colère ou affliction, lui même ignore ce qui se joue dans son regard. Elle fond contre lui et s’il rêve ses lèvres, elles ont tremblé. S’il est vrai, c’est juste un sourire qui est né. Adieu. Il sent ses flancs crever, là où l’on ne peut le soigner, mais Johann est toujours poignard, et dans cette étreinte pénétrante il n'est qu'un peu en retard. Alors, si je pars, tu pars avec moi.  

Et elle ne pouvait vivre s’il n’était pas.

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