if you die, i die ‹ Gareth, c’est cet enfant né au sein des Murs de Greenstall pendant la Grande Guerre, alors que Juliette n’avait que 19 ans quand le bébé a poussé ses premiers cris dans le palais Eartanarien. Né de l’idylle de l’ainée K’han et d’un mêlé, le bébé fut rapidement estampillé de l’étiquette de bâtard. Pourtant, il fut accepté au sein de la demeure des Griffith et sa mère décida de lui donner le nom de K’han. A la fin de la guerre, le gamin avait tout juste l’âge d’entrer à l’académie. Il serait l’un des tout premier mêlé à sortir diplomé de Koldoveretz. A l’époque, on ne parlait pas encore de lier les maîtres et les mêlés sous le lien de l’adiutor, alors Juliette ne s’intéressa pas plus que ça à cet enfant qui l’admirait déjà bien trop. Il la trouvait belle, Juliette. Somptueuse. On parlait de ses exploits à la guerre, on la disait impitoyable et intrépide. Il la trouvait douce, pourtant, avec ses enfants. Mais au lieu de développer une admiration filiale envers une figure maternelle, il commença à en tomber amoureux alors qu’il n’avait que quinze ans. Un crush d’adolescent qu’il avait du mal à réprimer. Avant la fin de ses études, Juliette alla lui parler. Elle avait entendu dire qu’il était un excellent combattant. Un K’han doublé d’un mêlé entrainé à l’académie ne pouvait que faire des étincelles. Elle lui confia que si il devenait le meilleur de sa promotion, elle l’accepterait en tant qu’adiutor. Avoir sa vie mêlée à cette femme était un rêve, pour Gareth. Il s’entraina plus dur que les autres, et termina ses études avec les honneurs. Homme intelligent et combattant redoutable, il fut lié à Juliette lors de la toute première cérémonie des adiutors. Au début de leur relation de maître à adiutor, Juliette tenait Gareth pratiquement totalement sous sa coupe. Il était une sorte de pantin qu’elle pouvait manipuler comme elle le voulait. Consciente que l’affection du brun dépassait celle de la simple amitié, elle ne le repoussa cependant pas. Elle décida au contraire d’utiliser ses atouts. Gareth devint sa main armée, son espion, son confident aussi. Il fallu quelques années au brun pour se rendre compte que cette femme là, il ne l’aurait jamais. C’est grâce à Khornelia Skosgran qu’il oublia ses sentiments pour Juliette, et commença à se détacher de son emprise, il y a cinq ans. La brune a bien vite remarqué le changement, mais en attendant, une véritable amitié s’était développée entre les deux Eartanariens. La brune lui obtint une place au gouvernement, en tant que représentant des mêlés. Bien vite, le protecteur eut besoin de ses propres gardes, lui qui était si haut placé. Et puis, Juliette fut emmenée à Eartanera par son mari. Gareth refusa de la suivre. Sa place était au palais, au gouvernement, pour soutenir leur nouvel empereur : Cal Oshun. Cette séparation, Gareth la vit comme une trahison, et il en va de même pour Juliette.
update : avec le virus, Juliette se doute que Gareth risque de venir la trouver. Elle ressent la perte de son lien avec sa moitié au plus profond de son âme, et le mêlé ressent la même déchirure mais il s'en fiche. Il veut sa tête.

to love is to destroy ‹ Promis l’un à l’autre dès qu’ils furent en âge, le couple n’a cependant pas eu le temps de vraiment apprendre à se connaître. En effet, la guerre est arrivée bien vite et avec elle, le devoir des deux parties d’assurer un avenir à leur nation. Thomas, lui, combattait au front, pendant que Juliette donna naissance à deux héritiers au trône Eartanarien. C’est à cette époque que Thomas se rendit compte du charme de la belle, et voulu la courtiser. Vexée par les manières de rustres de son mari, Juliette pris son temps pour finalement accepter ses faveurs et son côté séducteur. Elle ne pu s’empêcher de tomber amoureuse de lui, avec une force que seul une eartanarienne pouvait déployer. Le couple affichait son amour sans même s’en rendre compte, faisant rêver les femmes et les hommes d’eartanera. La guerre était là, mais l’amour aussi. Les eartanariens se battaient plus fort encore, pour protéger les héritiers du trône. Mais le trône leur fut retiré, et si Thomas en fut frustré, Juliette, elle, ne laissa pas cette bavure entraver son chemin. Armée d’une ambition gigantesque, la Griffith écarta tous ses rivaux et devint rapidement le bras droit de l’impératrice, quand celle-ci arriva au pouvoir. Sans le savoir, elle a signé le début d’une période sombre avec Thomas. Alors que lui n’aspire qu’à démenteler le pouvoir des Oshun, elle veut le garder à tout prix. Derrière les décisions de l’impératrice se cache bien souvent Juliette Griffith et il est hors de question qu’elle perde ce qu’elle à mis longtemps à récupérer. Devenir la reine de son mari ne l’interesse pas. Avoir le pouvoir sur une seule nation ? Pour quoi faire ? Alors qu’elle est la seconde de la dirigeante de tout l’empire. Ni l’un ni l’autre ne sait les envies de son conjoint, mais ça ne saurait tarder…

FILLE ADOREE ‹ Juliette et Ariane ont toujours été très proches. Depuis qu'Ariane est enfant, les deux jeunes sont très complices, même si ses derniers temps, une distance s'est installée entre elle à cause des conflits politiques. Ariane s'éloigne de tous les membres de sa famille pour mener son plan sur la démocratie à bien, et Juliette ne fait pas exception. Cette dernière souffre beaucoup de cet éloignement, ne connaissant pas les raisons qui pousse sa fille à faire cela et Ariane, elle, en souffre également puisque sa mère était l'une des personnes dont elle était le plus proche. Elle voudrait parler de son plan sur la démocratie à Juliette, mais elle pense que sa mère est trop fidèle envers Thomas pour l'écouter, la suivre et ne pas la dénoncer sur le champ à Thomas Griffith. Cependant, Juliette fait tout son possible pour découvrir ce que sa fille lui cache, elle est déterminée à trouver les raisons de cet éloignement pour y mettre un terme et retrouver la complicité qu'elles avaient autrefois.

nature du lien ‹ merci de décrire dans cette partie, votre lien avec le scénario. Vous avez le choix sur la forme à adopter, un rp ou un texte narratif, mais soyez créatif et n'hésitez pas à ajouter plein de détails encore une fois. Cela peut faire la différence entre un scénario pris et un autre. merci de décrire dans cette partie, votre lien avec le scénario. Vous avez le choix sur la forme à adopter, un rp ou un texte narratif, mais soyez créatif et n'hésitez pas à ajouter plein de détails encore une fois. Cela peut faire la différence entre un scénario pris et un autre. merci de décrire dans cette partie, votre lien avec le scénario. Vous avez le choix sur la forme à adopter, un rp ou un texte narratif, mais soyez créatif et n'hésitez pas à ajouter plein de détails encore une fois. Cela peut faire la différence entre un scénario pris et un autre.

water's thick but blood is thicker ‹ Conçu pendant la guerre, Adonis est pourtant un enfant de la paix. Né quelques semaines après la signature du traité, l’enfant l’a comblée dès qu’elle a posé ses yeux sur lui. Un enfant né de son amour avec Thomas, le premier de ses enfants né d’une union basée sur les sentiments, né d’une étreinte passionnelle et non forcée par le devoir. Des héritiers, ils en avaient. Une fille et un garçon, deux magnifiques enfants qu’elle n’aimait ni plus ni moins que ce nouveau bébé. Ils auraient pu s’arrêter, mais le couple s’aimait et le couple voulait faire perdurer la lignée Griffith, endommagée lors de la grande guerre avec la mort des deux sœurs de Thomas, chacune mariée à des nobles Eartanariens dont les familles avaient été massacrées. En grandissant, Adonis se révéla être un enfant bien différent d’Ariane et d’Eros. Déjà enfant, il avait développé un talent particulier pour la manipulation et un charme qui faisait fondre ses nounous. Souvent, Juliette devait le réprimander elle-même parce que les bronze qui s’occupaient de lui en étaient incapable. Le sang Griffith coulait bel et bien dans les veines de cet enfant-là. C’est lui qui lui faisait le plus penser à Thomas, et elle ne fut pas étonnée de voir le père et le fils être plutôt proches. Pourtant, tout changea quand Adonis arriva à l’académie. Grisé par la liberté que lui offrait cet éloignement avec sa famille, et surtout avec son père, l’enfant s’épanouit dans une direction que Thomas n’avait pas vu venir, mais qui ne surpris pas Juliette. Homme moderne et libéré, Adonis usait de ce même charisme pour s’attirer les faveurs des demoiselles de l’académie. Juliette n’aimait pas ce comportement, mais ne dit rien. Adonis restait son fils, et elle l’aimerait peu importe ses bêtises. Elle tenta bien de tamiser ses ardeurs, de le calmer un peu, mais c’était peine perdue. Pourtant, en voyant son talent pour la diplomatie et les belles paroles, elle su qu’elle devait le prendre sous son aile. A l’époque, Thomas s’était déjà tourné vers Ariane pour en faire sa digne héritière. Juliette se tourna alors vers Adonis. Elle qui était aussi une diplomate lui appris les ficelles du métier. Elle éduqua son côté insolant et arrogant et parvint à le dissimuler sous des couches de protocole et d’étiquette, à défaut de pouvoir totalement l’effacer. Adonis, c’est un peu son œuvre. Un enfant ambitieux, turbulent certes et à l’opposé des valeurs presque pieuses des nobles d’Eartanera, mais un homme accomplit qui sait ce qu’il veut et qui est prêt à se battre pour l’obtenir. Quand, en août dernier, le prince héritier jeta son enfant en prison, Juliette senti une rage sans commune mesure s’emparer d’elle. On lui avait déjà volé son enfant, un an auparavant. Isaiah était mort, et on lui arrachait Adonis. Elle a tenté de parlementer avec Cal pour obtenir sa libération : en vain. Et puis, l’impératrice est morte et Thomas les a tous emmenés à Greenstall en urgence. Quand elle comprit ce qu’il voulait faire, elle tenta de le dissuader : en vain, à nouveau. Thomas voulait cette couronne depuis vingt-cinq ans, elle n’arriverait pas à l’empêcher de la récupérer. Quelque part, elle comprenait. Eartanera devait revenir à son peuple, et son peuple avait depuis toujours placé les Griffith à la tête de la nation. Reine, elle vit son époux refuser l’offre de Cal : sa capitulation contre la vie d’Adonis. Ce refus de Thomas lui brisa le cœur. L’homme de sa vie préférait sacrifier un de leurs enfants plutôt que de rendre la couronne. Elle savait, pourtant, que rendre la couronne n’aurait pas été aussi simple mais elle aurait voulu y croire. Et puis, le 25 septembre, date prévue de l’exécution d’Adonis, elle entendit dire que son enfant s’était échappé. Ce n’est que le lendemain qu’il revint, un bras autour des épaules d’Eros, qui devait le soutenir pour entrer dans le palais sur ses deux pieds. La figure mangée par une barbe d’un mois, les cheveux trop long et le regard éteint. Cette vision lui a brisé le cœur une nouvelle fois, mais au moins elle n’avait pas perdu un autre enfant. Désormais, Adonis parcourt Eartanera pour le bien de la guerre, et à chaque fois qu’il s’éloigne d’elle, elle s’inquiète. C’est un condamné qui se balade impunément dans sa nation, et Juliette craint qu’on le lui arrache à nouveau.