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fairly local (lo) - délai 27.10

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MessageSujet: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 16:54


LEX ASLANDER OSANOS
you don't know my mind, you don't know my kind
prénom, nom ‹  (OSANOS) les déchus, empereurs des mers à la fougue assassine, brandissant l'étendard d'une justice déjà rongée par les embruns mesquins – lui est resté impassible, contemplant la rouille précoce d'un œil torve. il gratte sous l'héritage le sang caillé des héros sacrifiés, crache sur les cadavres imbéciles qui crèvent pour un nom devenu illusion. (LEX), la vipérine syllabe de l'éternel second. ça siffle sur la langue comme le chant d'un reptile, ricochet insolent qui s'éclate contre les murs fissurés des bas-fonds autant que sur le marbre des palaces. il écorche les gorges, gangrène épineuse, amas d'amertumes mêlées de fureurs. âge ‹ (QUARANTE-SEPT ANS), la figure intemporelle, défi qu'on lance à la face d'un temps qui ronge, tumeur inexorable qui se cramponne à la carcasse en murmurant à son oreille la fatalité de son œuvre. date et lieu de naissance ‹ (AZURITE), la capitale accueille dans son étreinte océanique le gosse des tempêtes. foyer dérobé, chacune de ses rues sinueuses est gravée dans son crâne, chaque pavé martelé de son pas candide lorsqu'il était encore libre de s'y pavaner à visage découvert. (05/06), juin et ses chaleurs torrides glorifièrent l'enfant d'un linceul solaire, transperçant l'âme juvénile d'une incandescence dévorante qui s'y est éternisée, familière compagne. statut matrimonial ‹ (MARIÉ) malédiction que de jurer à une inconnue la fidélité d'un cœur qu'on sait trop licencieux pour être exclusif. maître des amours maudits et des passions éphémères, il dissipe dans les bras d'un désir versatile la prison dans laquelle on l'a cadenassé. sang ‹ (ARGENT), bouillonne dans ses veines la majesté d'un sang destiné à régner ; la pureté souveraine, surplombant les enfants de l'onde d'une éminence génétique, octroie à l'illustre patronyme le privilège d'une couronne de bruine. métier ‹(FUGITIF), si l'on lui a longtemps proposé la place de magistrat au département de la justice, il a toujours dédaigné l'offre, préférant se vautrer dans des activités plus illicites – il fut d'ailleurs l'organisateur du trou, jusqu'à ce que le destin le relègue au rang de raclure nationale. adiutor ou Maître ‹ (MAÎTRE) de rien, la tyrannie d'une loi nouvelle s'est heurtée au refus catégorique du prince des mers, se jugeant seul maître de sa carcasse aguerrie ; le tracé d'une vie dessiné par ses seules actions, nulle autre que sa conscience ne l'accompagnera pourrir en enfer.   pouvoir ou élément maîtrisé ‹ (EAU) les veines charrient d'inexorables tempêtes, l'âme ses vagues versatiles. maître de flots indomptables, l'osanos est à l'image de son élément : imprévisible. allégeance ‹ (OSANOS), il aura beau les traiter d'imbéciles, d'inconscients, cracher sur leurs démesures et leurs ambitions, insulter ces âmes de tempêtes jusqu'à en perdre son souffle ; il n'y a que pour ces cœurs liés par le sang qu'il saurait être capable de sacrifice. compétences ‹ (SURVIE)(ENDURANCE)(VIGILANCE)localisation actuelle ‹ qg de la résitance. groupe ‹ tear them apart avatar et crédits ‹ jared leto + killer from a gang
TROUBLEMAKER ‹  rebelle jusqu'à l'os, on eût dit à la fondation de la résistance que le destin lui taillait un costume sur mesure ; pourtant, ça n'a jamais plu à lex, cet exil forcé, cette insurrection sérieuse trop loin de ses guérillas gamines. lui c'était les magouilles dans les bas-fonds d'aguarini, les jeux et les dettes, les femmes et l'argent. il avait été la voix discordante des repas de famille, l'emmerdeur infatigable qui sur la surface plane d'une sérénité hypocrite allumait l'étincelle, soufflait sur le brasier. fauteur de trouble, diablotin insouciant loin d'être façonné pour l'ardeur de la guerre. PLEASURE SEEKER ‹ les lèvres avides de baisers jusqu'à s'en vider les poumons, les âmes vendues au plaisir exquis ; hédoniste notoire, écumeur de ces soirées où la luxure est un parfum aussi constant qu'enivrant et la sensualité une marquise d'éternité qui enlace jusqu'à l'aube les courbes envoûtantes, l'osanos s'est taillé une solide réputation de débauché. dupeur hors-pair, il était renommé pour être un joueur invaincu – tricheur qui ne s'était jamais fais prendre, il gagnait plus de fierté à escroquer qu'à remporter les gains. BROTHER ‹ loin d'envier les écrasantes responsabilités de son frère, lex lui a délaissé de bon cœur le rôle rébarbatif d'héritier. d'abord inséparables gamins, les frères osanos se sont lentement éloignés ; l'aîné rattrapé par les obligations de l'avenir délaissa le second, qui en se complaisant dans un épicurisme dépravé le provoquait ouvertement. johann fut son amertume, lex sa déception ; incapables désormais de se comprendre, s'octroyant pourtant un amour fraternel désordonné, maladroit et rageur mais inébranlable. JOKER ‹  lex, c'est l'incarnation même du cynisme, le maître incontesté du sarcasme. l'humour noir de l'osanos n'a échappé à personne ; ils font grincer des dents, son rire vide et ses blagues déplacées. considéré comme un je-m'en-foutiste farceur, c'est un fervent adepte de la dérision et de l'ironie, usées avec parcimonie sur sa propre personne. si sa condition récente de fugitif a réussi à entamer son naturel malicieux, il n'en montre rien, préférant se raccrocher aux récifs de son extravagance et de ses manies mutines. mais ça sonne creux, ses rires moqueurs, ses sempiternelles railleries ; c'est l'effet d'avoir une cible collée entre les omoplates. LOVER ‹ malgré les rumeurs lui prêtant un coeur indomptable, il a aimé lex, il s'est laissé prendre à son propre piège. la première femme qui l'attira dans ses filets était mariée, et trouva la mort des mains de son propre mari une fois que celui-ci eût découvert l'affaire. s'il prétendit l'accident, il disparut du jour au lendemain et on n'en trouva plus trace – le patriarche osanos étouffa l'affaire, lava le sang des mains de son fils. la seconde, elle était parfaite ; comme un composé de tout ce qu'il désirait chez une femme, elle l'aborda et ils entretinrent une longue relation, jusqu'au jour où la vérité éclata ; à la solde du gouvernement, la séductrice avait jeté son dévolu sur l'osanos, mêlant plaisir et espionnage. elle lui est restée en travers de la gorge, la trahison, l'éloignant définitivement d'un cœur poignardé par deux fois. KILLER ‹ les mains écarlates, les vies qu'on ôte sans réellement s'en rendre compte. l'habitude supplante tout, laissant au creux de sa poitrine un vide béant, où navigue une lassitude paresseuse ; on lui prête cruauté là où ne s'est finalement enracinée qu'une profonde insensibilité à l'horreur. l'empathie s'est disséminée dans le sillage de l'errance, si jamais elle fut vraiment acérée – l'égocentrique n'a jamais accordé son intérêt qu'aux membres de sa famille, les seuls à pouvoir encore faire vibrer son myocarde d'un sentiment pénétrant d'inquiétude. mais il reste ambigu, lex, le genre de type qu'on hésite à qualifier de dangereux ou de futile, de diable ou de lutin.  FATHER ‹ la paternité, ça n'a jamais été pour lex. des responsabilités trop lourdes, la crainte inavouée mais tenace d'être un mauvais père. pourtant, ils sont là, ses rejetons. paradoxes nés d'une union placide enfantant un amour indicible ; l'affection surprenante éclosant d'une haine conjugale enracinée. sa maladresse abrupte l'agace, mais s'il n'a jamais vraiment su comment s'y prendre, il n'a jamais cessé d'aimer. SCHEMER ‹ calculateur, on oublie trop souvent l'esprit aiguisé de l'osanos, sans comprendre que c'est précisément ce qu'il recherche. il s'est forgé l'image d'un diablotin espiègle, narcissique, insupportable et inconséquent. talentueux joueur d'échecs, il sait quand placer un pion, et quand le sacrifier – sa face lisse, illisible n'a jamais permis à son entourage de savoir s'il était prêt à sacrifier tous les pions pour remporter la partie. cependant, il se défend d'être, comme son frère, capable de tout pour s'octroyer la couronne ; pour sa propre famille, en revanche, il n'hésiterait pas à se faire auteur des pires bassesses. OBSERVER ‹ laconique, l'enflure a parfois l'audace d'ignorer ses interlocuteurs, se murer dans une insolence syllabique aussi désarmante qu'agaçante. pourtant, malgré des désintérêts qu'il affiche ouvertement, il a l’œil ouvert, limier lucide traquant la moindre faille dans son entourage ; méfiant, trop peut-être derrière l'affabilité trompeuse, les trahisons populaires l'ont conforté dans sa défiance. l'intelligence vive épie chaque mouvement, chaque tic ; observatrice inlassable, déductrice implacable, elle est trop ignorée pour être crainte. ANGER ‹ il a la rage aux poings, lex, mais s'en défait d'un air négligé ; peu savent à quelle point les colères de l'osanos sont destructrices. atteint d'un trouble explosif intermittent, il a au long de son existence cassé plus de gueules qu'il ne pourrait en compter. s'il sait aujourd'hui canaliser la rage qui serpente au creux de ses veines, ça n'a pas toujours été le cas, lui en soient témoins ses géniteurs désemparés.

‹ comment vous comportez vous vis à vis des Mêlés et de la loi des Adiutor ?
il n'a jamais été aussi hautain envers les mêlés qu'il aurait dû l'être – pourtant son affabilité n'a jamais été synonyme de compassion, encore moins d'intérêt. l'osanos n'épargne personne ; victimes de son caractère versatile au même titre que les maîtres, il doute être plus aimé que haï. il préserva un mêlé du terrible sort d'être enchaîné à ses côtés lorsqu'il refusa fermement l'attribution d'un adiutor, d'un protecteur. il en rit encore, des puissants liés de force à une vie qui n'est pas la leur, doublant leurs chances de mourir plutôt que celles de survivre – le prince des mers, lui, ne mourra jamais que de son propre fait.
‹ quel est votre avis sur la nation du feu et sur l'actuelle famille régente ?
fidèle à son nom, l'osanos ne porte pas la famille régente dans son cœur. ça s'arrête là, pourtant. s'engager dans les magouilles politiques, ça n'a jamais été son objectif – et plutôt que de crever en essayant d'atteindre les têtes couronnées, il préfère garder un œil sur ceux qui s'y essaient avec acharnement. son sang contre le leur, osanos contre oshun, ça a toujours été un inévitable duel, et le prince déchu se cantonnera à son rôle d'observateur placide jusqu'à ce l'heure soit venue où les destins se croiseront sous la tutelle funeste de la fatalité. il attend le point d'impact, lex, le moment où n'être qu'une ombre protectrice ne suffira plus.
‹ quelle est la relation du personnage à son élément, c'est-à-dire son apprentissage et l'influence qu'il a sur sa vie de tous les jours?
son élément a toujours été à son image ; imprévisible, indomptable. il fut aussi doué pour le contrôler qu'il le fut pour se maîtriser lui-même, et ne le dompta que lorsqu'il parvint à dominer ses instincts. pourtant, il y a toujours ces failles sous la rivière docile, la fragilité d'une digue érigée entre son cœur et son esprit, menaçant de s'écrouler à chaque fois que les pulsions refont surface, que la sauvagerie gratte sous la peau. l'eau qui dort n'est qu'une illusion obscurcissant la tourmente sous ses flots paisibles et s'il eût les meilleurs professeurs, la perfection d'une maîtrise perfectionnée avec l'âge est perpétuellement menacée par déferlement abrupt d'une bestialité indisciplinable.
pseudo et prénom ‹ nocturnal, julie âge ‹ 18 yo comment as-tu trouvé le forum? ‹ j'ai demandé à un nain qui passait par là. pays ‹ france fréquence de connexion ‹ 7/7j maggle  fairly local (lo) - délai 27.10 3836947603 votre avis sur le forum ‹ ma foi, ça vaut le coup d'oeil  What a Face smiley préféré‹  money gif qui décrit le mieux votre personnage‹
Spoiler:
PINNED UNDER THE WEIGHT 2017



Dernière édition par Lex Osanos le Mer 25 Oct 2017 - 11:09, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 16:54


EVERYTHING BLACK
hit the lights, let it blackout


(PART ONE) I'm here to right my wrongs, I've made a mess again. I'd like to apologize, I'm tryna make amends. Forgive me, father, I'm only human ; That wasn't who I am, Those were my demons

« tu es en retard, jeune homme » la voix du paternel claqua, instaurant un silence où le malaise était palpable. le gosse le jaugea d'une œillade impassible, trop habitué à ce ton sentencieux pour ne pas deviner qu'il s'ensuivrait d'une flopée de blâmes amers. « votre sens de l'observation me surprendra toujours, père. » qu'il rétorqua, déjà provocateur du haut de ses quinze années. tandis que johann roulait des yeux, sa mère le foudroya d'un regard noir, invitation limpide à ne pas aggraver sa situation. peine perdue. il s'insurgeait continuellement, le môme, incapable désormais de reconnaître dans ce foyer qu'autrefois il adorait le sentiment d'être chez lui. le cadet osanos se dirigea vers sa chambre, peu désireux de participer à un repas de famille qu'il prendrait trop de plaisir à gâcher, mais la main du paternel l'en empêcha, mordant son épaule d'une serre inflexible. « peut-on savoir où tu étais passé ? depuis quand ça t'intéresse ? » la question était rhétorique, et si le ton, lui, était léger, il avait ces fragrances d'acidité qui rongent la moelle des enfants délaissés. il était à l'abandon, lex, et en avait décidé d'en tirer parti, de croître dans l'ombre de son frère tel un diable en déguisement. il était fini, le temps où les frères jouaient main dans la main, où d'un air trop fier il brandissait foison de breloques escroquées de gamins trop naïfs devant les billes émerveillées de johann. le frère le jugeait, désormais, portait sur sa carcasse un regard désapprobateur. « répond. » ils s'affrontaient dans un jeu de regards tendus, le père et le fils, imperméables à ce qui les entouraient, se défiant l'un et l'autre, continuellement. « sinon quoi ? » le provoqua t-il ouvertement. l'étreinte sur son épaule se resserra, menaçante, mais il n'en tint pas compte. « ne joue pas à ça, lex. oh que si, je vais jouer à ça. je vais jouer à ça jusqu'à ce t'admette enfin que la seule chose qui t'intéresse chez moi, c'est l'image que je renvoie de toi. » la gifle fut brutale, et le fils rebelle ne pouvait pas prétendre qu'il ne s'y attendait pas. de pourtant, il ne pleurait pas, le gamin, laissant la brûlure du coup le ronger aussi sûrement qu'un poison mortel ; il souriait. d'un sourire tordu, presque satisfait. « alors c'est ça que tu veux entendre, lex ? que tu n'es pas à la hauteur de ce que j'attendais de toi ? que ton comportement n'est - et ne sera jamais - digne d'un osanos ? et bien c'est le cas. toutes les mains que l'on tendra pour te sauver, tu les refuseras, toute les chances que l'on t'offrira de te soustraire à ton naufrage, tu les dédaigneras, parce que c'est dans ta nature, de te perdre. mais viendra un jour où tu comprendra tes erreurs, fils, et ce jour là je ne serais plus là pour t'absoudre.» gronda le père, glacial. s'ensuivit un silence où l'affrontement de ces regards incompris s'éternisait, jusqu'à ce que le gamin se défasse de l'étau paternel, s'esquivant dans l'esquisse d'un sourire mesquin où se dissimulait les cicatrices tenaces. «tu vois, c'était pas si compliqué après tout » il tourna les talons, retourna dans les bras de ces ombres amicales qui l'accueillaient déjà comme un vieil ami.


(PART TWO) Fill me with rage And bleed me dry, And feed me your hate In the echoing silence I shiver each time that you say mercy.

« quant à toi, lex, tu épouseras la fille dynerris » le gamin s'en décrocha la mâchoire de surprise. se marier. lui, lex osanos, sans doute le plus grand séducteur qu'aguarini eût jamais connu, traînant dans son sillage les titres de bourreau des cœurs, coureur de jupons et terreur des maris – on pariait même sur le nombre de ses conquêtes, sur la véracité de récits qu'alimentaient ses amantes, où celles qui auraient aimé l'être. et il allait se marier. même son frère semblait prendre conscience de l'ironie de la situation. « ça t'empêchera peut-être de courir les bordels » s'esclaffa johann, un sourire moqueur au coin des lèvres. « pourquoi aller chercher dans les bordels ce qui se presse à ma porte ? » rétorqua t-il, accordant à son frère un clin d’œil provocateur. il jouissait d'une liberté que l'héritier ne connaîtrait jamais, une liberté dont il profitait sans doute trop intensément au goût de ses géniteurs, pavanant dans les draps de milles amantes, délaissant à ses pieds trop de larmes et de cœurs pour y être sensible. bâtard incapable d'aimer, seulement de désirer – il était à l'image de ce désir, lex, infidèle, éphémère  « ça suffit, vous deux » coupa le paternel, se retenant de rouler des yeux. il n'était censé annoncer que le mariage de l'aîné, et pourtant il avait piégé le second, l'enfermant de force dans une prison dont il s'était cru délivré à l'instant même de sa naissance. « m'emprisonner dans cette institution dépassée que vous appelez mariage pour une alliance médiocre, ce n'est pas rendre service à cette charmante jeune femme, père. » c'était le fiel de l'orateur qui ressurgissait, la voix doucereuse et le père qui glissait sur sa langue comme un poison doux-amer. « ce n'était pas une proposition, lex. peut-être que cette union t'enseignera le sens des responsabilités ? nous ne sommes pas à l'abri d'un miracle. » sourire froid, sentence implacable. le fils serra les dents, conscient soudain que tout cela n'était qu'une punition, une leçon qu'on liait à des intérêts politiques. il avait trop déçu, s'était trop rebellé, était rentré trop souvent les poches pleines et les phalanges abîmées. irresponsable, débauché, démon de la paresse marié à la dame luxure, il les désespérait chaque jour un peu plus. il s'en était accommodé, jusque là, de cette déconvenue qui brillait dans chaque regard, cette amertume qui gangrenait chaque mot – mais la vie avait été meilleure mère, le libre-arbitre meilleur père que ces juges terribles qui faisaient son procès.

(...)

« non satisfait de coucher avec la moitié du royaume, il fallait en plus que tu ramènes tes conquêtes ici ? n'as-tu donc aucune considération pour la femme que tu as épousé, lex ? » confortablement étalé sur le sofa, ses deux bras étendus sur le dossier, l'osanos n'abandonna la délicieuse vision des deux sirènes qui venaient de le quitter qu'à regret. ses iris pâles rencontrèrent celles de sa femme, la désinvolture narquoise s'opposant à la fureur glaciale. « que dire ? je plaide coupable. » il l'avait déçue, comme tant d'autres avant elle. la dynerris avait pensé se marier au prince charmant, trouver dans l'union le réconfort d'une vie conjugale où le maître-mot était perfection, et l'enflure avait fait durer l'illusion aussi longtemps que le dégoût de cette mascarade le lui avait permis. il avait tenu le cœur de la belle entre ses mains, et l'avait brisé sans plus de cérémonie, incapable d'aimer celle qui représentait des chaînes qu'il abhorrait, qu'il désirait briser mais qui ne disparaîtrait qu'à sa mort où à celle de l'autre. sans en être réellement conscient, le prince des océans s'était fait de sa compagne une ennemie mortelle, l'avait transformée en monstre d'amertume, de rancœur acide. comme intouchable, la trahie s'approcha d'un pas fier jusqu'à lui, empruntant à son mari ces sourires sarcastiques qu'elle s'était si rapidement appropriée. « ah, lex. le cynisme ne te sauvera pas toujours, tu sais. » pour toute réponse il ne daigna lui accorder qu'un soupir dédaigneux – il s'en désintéressait, certain qu'elle se perdrait en palabres interminables, la liste de reproches qu'elle dressait contre lui s'étirant chaque jour un peu plus. aussi fut-il surpris lorsqu'elle se pencha soudainement vers lui, empoginant son visage entre ses doigts élancés. « j'ai vu ton véritable visage, amour. ne crois pas une seule seconde que tu t'en tireras toujours à si bon compte. tout acte a ses conséquences. et un jour viendra où tu devras payer le prix fort. » la menace était perceptible, et sans l'enrager vraiment, elle l'agaça ; le brun avait toujours pensé que la belle resterait dans le rang, se contentant d'observer le théâtre de sa vie en grinçant les dents – il s'était manifestement trompé. pour autant, cette erreur de calcul la rendait d'autant plus intéressante qu'auparavant ; une lueur de curiosité s'alluma au creux de ses opales, disparaissant aussi vite qu'elle était venue. d'un geste vif, il agrippa le poignet de la tigresse, se relevant en le tordant sans ménagement. « j'ai assez d'argent pour racheter tous mes crimes, chérie. et si jamais il m'en manquait ... et bien, je pourrais toujours vendre mon âme. » ricana t-il. oh, il lisait en elle comme dans un libre ouvert, s'enivrant de sa haine comme d'une juste compensation pour la liberté qu'elle lui avait ôté, la garce. « il faudrait déjà que tu en ai une ! » cracha t-elle, venimeuse, tentant vainement de se dégager – ce n'est que lorsqu'il relâcha son étreinte dans un sourire, qu'elle se détourna, hautaine, et quitta le salon.


(PART THREE) We all go through changes, run to different places, That doesn't mean that we have to part And when you feel like nobody's on your side, Please believe I'm never too far


il tenait dans ses bras son premier-né, incapable de détacher son regard de la fragile créature. son enfant, sa progéniture. elle gazouilla, et il se surpris à sourire, l'osanos, du premier véritable sourire depuis bien longtemps. il ne s'était jamais envisagé père, le prince des mers, n'avait jamais pensé qu'il était taillé pour ce rôle – trop insouciant, trop frivole. comment t'occuper d'un enfant alors que tu ne sais même pas t'occuper de toi-même ? avait raillé johann, non mécontent de rendre la monnaie de sa pièce à un frère qui avait trop de fois critiqué l'éducation qu'il donnait à ses filles. pourtant il n'avait pas été loin de lui donner raison ; sa femme elle-même se gorgeait de le voir patauger dans une paternité imprévue, l'arrogance submergée par une maladresse nouvelle. mais la garce n'avait pas pensé un seul instant qu'il aimerait, lex, qu'il aimerait son engeance plus que sa propre personne, que cette minuscule chose qui gigotait dans son étreinte fasse peser sur ses épaules un indicible sentiment de fierté, d'appartenance à quelque chose de plus grand que lui-même. oh, il craignait de la décevoir, sa merle, doutait qu'un jour il le ferait ; et si l'angoisse l'aurait habituellement fait déguerpir loin de cette écrasante responsabilité, elle était largement surpassée par l'immensité d'une affection emplissant le vide d'une poitrine creusée par une errance sans fin. son regard polaire s'attarda sur les traits poupins, détailla le léger duvet brun sur le haut de son crâne, s'amusant à penser que sa chevelure, elle le tiendrait de lui, de son père. il déposa un baiser sur son front, et lorsqu'il sentit la minuscule menotte s'attarder sur son visage, caressant les prémices d'une barbe de quelques jours, il ne fut certain que d'une chose, lex ; qu'il traverserait les neuf cercles de l'enfer un millier de fois pour seulement qu'elle reste là, entre ses bras, à faire rebattre un cœur qui n'existait pas.




(PART FOUR) You rise, I fall, I stand, you crawl You twist, I turn, who's the first to burn ? You sit and stay, I don't to obey Where do we land in the Black Sea ?


« sérieusement ? » cracha t-il, ulcéré, claquant la porte à la volée. la folle ambition du frère était un fléau inflexible, qui les avaient précipités dans un gouffre interminable où la mort riait gracieusement des âmes qu'on lui dédiait sous le couperet des ennemis, en espérant qu'elle voudrait bien les piétiner à son tour. et à ce fléau on opposait les nièces, guerrières empoisonnées par l'avidité d'un père qui n'avait les yeux tournés que vers ce trône dont il avait été déchu. il détestait ça, lex, être dans l'ignorance à chaque départ qu'il observait dans l'ombre, à ne pas savoir si elles reviendront la même lueur justicière au fond des pupilles. aymeric, lui n'est jamais revenu. « laisser partir tes filles en mission ? putain, t'as des centaines d'abrutis prêts à crever pour toi, alors pourquoi ? » le regard de johann se posa sur son frère, glaciers imperméables aux blâmes furibonds. « oh, alors tu vas m'apprendre comment élever mes enfants ? amusant, venant d'un homme qui ne sait même pas où se trouve sa propre fille. » l'allusion était sournoise. merle. mâchoire contractée, le brun encaissa l'attaque. sa fille était un sujet sensible, qu'il n'abordait jamais qu'avec sa propre conscience. pourtant, il aurait refusé qu'elle parte au combat, qu'elle s'en aille seule à la merci d'un monde sans pitié. ça n'était apparemment pas le cas de johann ; elles n'étaient plus des enfants sous son regard de patriarche, elles étaient des soldates – il fallait croire qu'après tout, les frères osanos avaient finalement un point commun, celui de merder avec leurs gosses. reprenant contenance, le prince des mers se cala dans le fond de sa chaise, adoptant un air à la fois décontracté et moqueur.  « t'as raison, je ne vois pas pourquoi je m'inquiète. t'as déjà perdu ton trône, qu'est-ce que tu pourrais perdre de plus ?  » ricana t-il, mesquin, oblitérant volontairement de mentionner le fils perdu. il avait passé son existence entière aux côtés de cet homme ; il avait pensé le connaître par cœur, et ne s'était jamais autant fourvoyé. il changeait, johann, s'embourbait dans une obscurité solitaire auréolant sa gloire perdue d'un lustre sinistre. c'était la soif du pouvoir qui régnait sur ces ombres gloutonnes, souveraine implacable écrasant le sang, la famille – tous vendus pour une couronne capricieuse. « tout ce que je fais, je le fais pour reprendre ce qui nous est dû de droit. et toi, lex, que fais-tu ? que fais-tu, sinon nier la réalité d'une guerre à laquelle tu n'échapperas pas malgré tous tes pathétiques efforts pour t'en détacher, sinon continuer à laisser une réputation déjà aberrante ternir notre nom à tous ? » la question était rhétorique ; rien, c'est ce que tu fais lex. rien. des reproches, sans doute que son frère en avait bien plus à lui faire – mais ça ne l'atteignait plus, il avait été l'accusé de trop de procès muets pour que celui-là le touche.  « je fais ce que j'ai toujours fais, cher frère. je garde un œil sur l'essentiel pendant que tu te bats pour l'artificiel.  » répliqua t-il, sarcastique, avant de se lever de son siège.




(PART FIVE) I am not as fine as I seem, pardon Me for yelling, I'm telling you green gardens Are not what's growing in my psyche, it's a different me,A difficult beast feasting on burnt down trees.

d'un pas vacillant, l'osanos chancelait dans la pénombre, s'écorchant la paume sur une façade délabrée, soutenant de son seul bras valide la plaie béante qu'était sa carcasse de bête fauve. il était incapable de tenir plus longtemps son propre poids, le prince déchu, incapable de prétendre que ses titubations avaient un sens, une direction. l'errance aurait dû être trop familière pour l'achever, pourtant elle déployait devant ses pieds l'immensité d'un abîme sans fond ; se frayait un chemin jusqu'à son coeur pour y encastrer l'infâme vertige du néant. un ricanement étouffé s'échappa d'entre d'entre ses lèvres, qu'il acheva d'un crachat douloureux où la bile et le sang s'entrelaçaient jusqu'à choir sur l'asphalte. l'osanos s'affaissa contre le mur, éreinté. sa cage thoracique était un tambour battant un rythme irrégulier, symphonie chaotique murmurant la fatalité de tout ce qui était en lui déréglé ; comme une horloge marchant à l'envers, le fils des océans marchait à reculons, s'embourbant dans le vague de l'avenir pour oublier la clarté d'un passé incrusté dans la mécanique de son cœur délirant, tentant de rattraper le présent du bout des doigts sans jamais ne faire que l'effleurer. d'un œil las, il contempla ses phalanges érubescentes, douloureuses esclaves d'un monstre de colère trop longtemps enchaîné au fond de ses entrailles. sa mission était un succès ; il l'avait menée en solitaire, à son habitude. seul, il se salissait les mains, rassasiait la violence, écartait l'autre lui, l'ancien lui. celui dont il n'était aujourd'hui plus que le spectre vagabond. l'ironie du sort voulait que l'hédoniste persiste dans le vice, s'accrochant à l'insouciance d'autrefois en la corrompant des ombres présentes – peter pan maudit. des pas résonnèrent, rompant le fil désordonné de ses pensées, et lex n'eut pas besoin de lever les yeux pour deviner à quelle personne appartenait l'ombre qui le surplombait. « petite soeur » il aurait voulu l'intonation plus ironique ; son timbre était trop rauque, les mots traînaient sur sa langue comme s'il aurait préféré les emprisonner derrière ses crocs rougissants. sans lever un regard usé qui persistait à fixer des dextres sur ses genoux repliés, l'osanos se crispa insensiblement. ça n'était pas la première fois qu'elle le voyait dans cet état – et sans doute pas la dernière. ses lèvres se tordirent d'un rictus goguenard lorsque atalante s'agenouilla devant lui, saisissant son menton d'une main autoritaire. ses billes d'ébènes se rivèrent sur sa lèvre fendue, examinèrent le filet de sang dégoulinant le temps de sa tempe, les hématomes sur son portrait meurtri, s'arrêtèrent sur sa chemise froissée, déchirée, teintée d'un écarlate obscur, ouverte sur une estafilade peu profonde. c'était comme si tous les anges tombés du ciel se cloîtraient dans un seul corps – il était leur âpre réincarnation. à chaque vie se corrompre, à chaque chance s'embourber dans la fange d'une humanité viciée, s'y noyer jusqu'à dégringoler dans la gueule de l'enfer, il était prédestiné à une chute éternelle, et devait trouver encore la force de se relever en sachant que l'effort serait vain. « si j'avais su qu'un comité d'accueil attendait mon retour, je me serais fais plus présentable » railla t-il – l'humour était son seul rempart, le seul qui lui permettait de maintenir des apparences déjà disloquées. « nous savons tous les deux que tu n'aurais pas pris cette peine » rétorqua t-elle doucement. rien n'a changé, qu'il pense lorsqu'elle le soulève, lorsqu'il s'accroche à elle comme à une bouée de sauvetage. déjà lorsqu'ils étaient gamins elle calmait ses colères, pansait des plaies qu'on lui reprochaient toujours ; il avait le diable au cœur, qu'ils disaient, et il l'avait toujours, mais avait appris à le rendre invisible.  « je suis désolé » souffla t-il, murmure presque inaudible d'un condamné qu'emporte avec elle la brise nocturne. désolé d'être celui que je suis. il aurait voulu être un bouclier la protégeant de tous les maux, mais il s'était émoussé avant même de parer le premier coup ; il était censé la protéger, et il échouait, encore, plus lamentablement à chaque tentative. comme le pôle opposé de l'aimant qu'était le devoir, il lui semblait que c'était dans sa nature de faillir aux obligations, même à celles qu'il s'imposait lui-même. il n'était pas l'épaule sur laquelle elle se reposerait, il ne l'avait jamais été ; c'était elle, l'unique phare dans la tempête secouant son crâne d'une houle dévastatrice, la lueur qui traversait le marasme épais de ses ténèbres crasses pour y chasser les démons, vieux compagnons d'infortune dont les mâchoires s'étaient trop profondément cimentées sur ses os et son âme pour en négliger l'exquise dégénérescence. il était éternel, ce festin qu'on faisait de ses entrailles, le serait jusqu'à ce que la carne soit poussière et le pécheur en enfer. il n'était que ruines, et à travers ses fissures sifflait un perpétuel orage de rage et de rancœur. comme de maigres barrières tentent de réfréner un océan, il se laissait submerger. atalante était la digue qui retenait lex. elle l'avait toujours été, parce qu'elle représentait ce qu'il n'avait jamais pu être et ce que johann ne serait jamais ; une guerrière juste, forte, loyale. et qu'en plongeant son regard dans le sien, il était certain d'une chose.

tant qu'elle l'attendrait,
il se relèverait toujours.



(PART SIX) Shadows fall over my heart, I black out the moon, I wait for you to come around. You got me dancing in the dark, I've closed my eyes But I won't sleep tonight.


il aurait dû se sentir sale, l'osanos. coupable. mais il en était incapable, incapable de ressentir autre chose qu'une infinie jouissance dans le pâle reflet d'une vengeance qui rongeait l'abîme labyrinthique d'un cœur lézardé de balafres, imprégné d'oxymores. il avait trouvé dans hettie wolffhart l'instrument parfait, le miroir d'une traîtresse qui avait su percer l'impénétrable muraille d'un cœur trop volatile pour aimer vraiment, et la faire s'écrouler en un battement de cils. ambitieuse, calculatrice ; il avait su dès les premiers mots la manipulation, le besoin que la jeune femme avait de le voir redorer le blason familial à travers les caresses lascives et la luxure perpétuelle de deux corps s’imbriquant dans une danse de chimères. il l'avait prise à son propre jeu, la gamine, s'entêtant à simuler l'inconsciente lorsque chacun de ses gestes étaient destinés à sa chute. alors que la fille de l'eau s'apprêtait à s'aventurer sur le terrain dangereux d'une attente impatiente, le prince la coupa, inflexible. son regard azuré plongea dans les affres de l'autre, obscures sentinelles exhumant un espoir maladif, qu'il se plaisait à consumer en illusions stériles. il était temps, désormais, et le marionnettiste mettait un point final au jeu qu'il dominait depuis déjà des mois. « j'ai menti » le ton était factuel, presque indifférent. « je ne sauverais pas ta famille. je n'en ai jamais eu l'intention. » il se rapprocha d'elle, railleur, écourtant la distance entre leurs deux corps d'un pas diaboliquement lent. « ça fait mal, n'est-ce pas ? prends ça comme une leçon, à force de croire on oublie de douter. » oh, il était définitivement bon à faire croire, à créer des illusions qu'il ne concrétisait jamais ; il n'était, qu'à l'image de ses tromperies, une apparence, un masque inconstant qu'on ne perçait jamais vraiment que lorsqu'il révélait le véritable visage, celui d'une décadence cynique. « ces moments partagés avec toi furent absolument divins, hettie. » glissa t-il à son oreille en la dépassant, narguant d'un clin d’œil sarcastique l'amante trahie.

(...)

« je ne pensais pas te revoir aussi tôt » un fin sourire étira la commissure de ses lippes tandis que d'un geste insouciant il tendait un verre à la ténébreuse brune qui d'un pas de velours s'était faufilée jusqu'à lui. sa curiosité était palpable, même parée d'une désinvolture frivole – elle transparaissait dans le brasier de ses opales luisantes qui s'attachaient à la silhouette féminine comme pour en percer tous les secrets. la sulfureuse s'avança d'une démarche chaloupée, sensuelle, agrippant le verre dans l'étreinte d'une dextre élancée ; lui qui connaissait ses courbes par cœur n'aurait jamais pensé qu'en s'en pensant privé elles lui manqueraient à ce point. « l'espérais-tu ? » glissa t-elle malicieusement, ses lèvres glissant sur la courbure du verre pour l'en lester d'un nectar mordoré. délicatement, l'osanos lui ôta des mains la coupe ; feu téméraire s'amourachant d'un papillon inconscient, il l'avait voulue marquée d'une brûlure indélébile, et c'était maintenant l'embraser toute entière, faire amantes leurs ombres qui s'enlaçaient d'un regard. « peut-être » un murmure, la malice d'une indécision illusoire, d'un désir qu'on susurre à demi-mot. ses doigts dessinèrent lentement la courbe de ses omoplates, ses mires délavées en suivant le tracé dans le mouvement d'une tête qui se penche, observe le sillon de différents chemin en sachant pertinemment lequel sera emprunté. « je te pensais meilleur menteur » leurs sourires s'entrechoquèrent, à la fois moqueurs et affamés. d'un geste preste, l'osanos étreignit la chevelure de la wolffhart d'une paume possessive et l'attira à lui, s'emparant de ses lèvres et de son souffle, s'enlisant dans le désir d'elle comme un pécheur s'abîme dans le vice, encore et encore.  



.
PINNED UNDER THE WEIGHT 2017



Dernière édition par Lex Osanos le Mer 25 Oct 2017 - 13:59, édité 10 fois
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‹ AVATAR : MARIE AVGEROPOULOS.
‹ CRÉDITS : @ AMOR FATI. (av), BLACKTHORN&TUMBLR (img), ASTRA. (sign)
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‹ AGE : vingt six ans qu'elle endure les souffrances que le monde lui inflige, vingt six ans qu'elle se protège.
‹ STATUT : éprise d'un osoryd, un maitre du feu, d'un ancien ennemi.
‹ SANG : sang argent, qui est maintenant bleu.
‹ POUVOIR : lorsque le soleil se couche, elle maitrise le liquide vermeil qui parcourt les artères de chacun et les utilisent tels des pantins. pouvoir qu'elle maitrise, mais dont elle approfondit l'apprentissage à la ligue.
‹ METIER : ancien bras droit de merle osanos et récemment nommé ministre de la défense au sein de la ligue.
‹ ALLEGEANCE : seulement à la ligue. elle s'est fait avoir par bons nombres de personnes, notamment par les membres de sa propre famille. elle s'est sentie trahie en découvrant que diana s'était faite passée pour morte et a rejoint la wnp pour un court laps de temps avant de se faire recruter par la ligue.
‹ ADIUTOR : mort et regretté, lula est toujours affectée par la mort de ce dernier. en rejoignant la ligue, elle pense lui faire honneur.
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 16:55

CE PSEUDO choquee CET AVATAR choquee CE DEBUT DE FICHE choquee
(ça reste trop vide cependant pouty )

rebienvenue ici I love you faudra qu'on parle lien tous les deux chem
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Andrei Bolkonsky
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‹ AGE : VINGT SIX ANS; qui viennent d'éclore en son sein, âge dont la vigueur lui échappe effrontément.
‹ STATUT : MARIE; la bague enfin passée au doigt, et l'enfant qui naitra bientôt. l'esprit, pourtant, ne peut s'empêcher d'errer dans les contrées lointaines.
‹ SANG : BLEU; azur aux reflets argentés d'un passé révolu.
‹ POUVOIR : MUTANT DE L'AIR; les vents caressent ses joues et bousculent ses boucles, leur violence est sienne, il tire sur les ficelles de leur rage.
‹ METIER : PRINCE AMBASSADEUR; autrefois rêveur et artiste séducteur, l'enfant est devenu adulte, c'est la diplomatie de l'ambassadeur et les responsabilités de prince qui occupent ses journées.
‹ ALLEGEANCE : LUI-MEME; fleur qui éclate timidement sur les devants de la scène, il se détourne du giron maternelle pour enfin battre de ses propres ailes.
‹ ADIUTOR : ASHA; asha qui lui a été enlevée par le virus, asha qui est partie, asha qui l'a trahi.
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 16:58

ce personnage de fou qui s'annonce. fall j'me demande si le père est aussi pourri que la fille. rock
(re)bienvenue ici. I love you
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 17:04

ce personnage je meurs fall

(re) bienvenuuuue fairly local (lo) - délai 27.10 3836947603
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Merle Osanos
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‹ AVATAR : ADELAIDE KANE.
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‹ AGE : vingt-trois années, jeunesse écarlate imprimée sur un visage mutilé.
‹ STATUT : fiancée à l'âme qui a toujours hanté son esprit, le visage qui n'a jamais quitté ses pensées. c'est à maven oshun qu'elle va s'unir, l'oiseau se réjouie de cette union d'amour, bien consciente qu'il s'agit d'un réel privilège.
‹ SANG : anciennement argent, : il est désormais bleu, l'élégance et les privilèges coulent dans ses veines ; l'oiseau qui aspirait au pouvoir et à la puissance se retrouve désormais conquérant, Régente d'une nation, de sa nation. le sang de merle est peut-être bleu, mais c'est le pouvoir qui coule dans ses veines qui l'importe le plus. depuis que le virus a frappé aksana, le sang de la souveraine est désormais également considéré comme étant mutant, parce que la sauvage ne contrôle plus l'eau, non, c'est désormais sur le sang qu'elle agit impunément.
‹ POUVOIR : maîtrise du sang, don destructeur dans la main d'une âme détruite, l'oiseau a hâte de savoir maîtriser ce don à la perfection, de se venger de toutes ces âmes qui ont essayé de la corrompre pendant tant d'années, hâte d'imposer son pouvoir sur ce qui est sa nation.
‹ METIER : régente de la nation de l'eau, une responsabilité qu'elle ne faisait qu'imaginer dans ses rêves les plus fous, désormais réel, elle règne sur la nation de l'eau d'une main de fer.
‹ ALLEGEANCE : son allégeance se tourne vers sa nation et toutes les alliances qui l'accompagnent, le feu avant tout, c'est à l'empereur cal oshun qu'elle se livre.
‹ ADIUTOR : yerim osyris, un jaune qui l'a longtemps hanté et à qui elle veut désormais faire la peau.
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 17:20

fairly local (lo) - délai 27.10 Tumblr_opnol3v2sU1vrjwbvo1_500
MON PAPOUNET
ON M'A VOLÉ LA PREMIÈRE PLACE JE SUIS CHOQUÉE ET DÉÇUE
T'ES MAGNIFIQUE
ON VA FAIRE DE GRANDE CHOSE ENSEMBLE  gnuh  gnuh
rebienvenue chez toi! I love you  I love you
(ce début, I NEED MORE)
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Ace Kimora
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‹ AGE : vingt-cinq ans. les années s'écoulent sans qu'aucun regret ne vienne troubler ace.
‹ STATUT : libre et c'est tout ce qui compte. aucune bague n'enserre son doigt. aucune chaîne n'est passée autour de ses poignets. un sort bien différent de celui qu'il aurait dû connaître.
‹ SANG : l'argent acheté est redevenu bronze. un bronze entaché par la honte et l'offense de merle osanos. une insulte qu'il n'est pas prêt de laisser passer.
‹ POUVOIR : l'eau s'en est allée. un pouvoir plus sombre s'est éveillé en lui. la maîtrise des hémoglobines est son nouvel héritage.
‹ METIER : propriétaire du boudoir aux mille courtisanes, c'est un véritable écran de fumée pour organiser son marché noir. sa première acquisition reste toutefois le trou.
‹ ALLEGEANCE : il ne se battait que pour lui-même autrefois. maintenant, il se bat pour les siens. pour les kimora. pour la water's nation pride.
‹ ADIUTOR : medea. la deuxième partie de son être. la moitié de son âme. celle avec qui il communique sans le moindre mot. la seule qui peut se montrer proche avec lui. sans aucun doute sa plus grande faiblesse.
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 17:20

le personnage promet tellement mea culpa
entre jared et la famille omg fairly local (lo) - délai 27.10 3836947603
rebienvenue et bon courage pour ta fiche I love you
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 17:39

@Lula Osanos MA NIÈCE
QUE TU ES BELLE
c'est évidemment un trait de famille
parce que les osanos sont les meilleurs tmtc
:swagger:
i know je vais me rattraper et remplir ce vide honteux weltuntergang weltuntergang and ofc, il faut qu'on se mp  chem

@Andrei Valaeris WOWOWO
PERSONNE CRITIQUE MON ENGEANCE
JE SAIS QU'ELLE EST PAS PARFAITE
QUE C'EST UNE PETITE DÉLINQUANTE
UNE PETITE PESTE
INSUPPORTABLE
MAIS
sadsad sadsad
(merci tete a claque tete a claque )

@Svea Lankford coool je vais pouvoir te faire du bouche-à-bouche much wow much wow
MERCI TU ES ADORABLE kisses

@Merle Osanos LA PLUS BELLE
LA PLUS MERVEILLEUSE
LA PLUS CHIANTE
TU N'AS PEUT-ÊTRE PAS LA PREMIÈRE PLACE SUR MA FICHE
MAIS TU AS LA PREMIÈRE PLACE DANS MON CŒUR
kisses

JE REMPLIS JE REMPLIS fab2 fab2 et après on dominera le monde ensemble  :swagger:


@Sol Osyris MERCI BCP fab3
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Merle Osanos
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‹ AGE : vingt-trois années, jeunesse écarlate imprimée sur un visage mutilé.
‹ STATUT : fiancée à l'âme qui a toujours hanté son esprit, le visage qui n'a jamais quitté ses pensées. c'est à maven oshun qu'elle va s'unir, l'oiseau se réjouie de cette union d'amour, bien consciente qu'il s'agit d'un réel privilège.
‹ SANG : anciennement argent, : il est désormais bleu, l'élégance et les privilèges coulent dans ses veines ; l'oiseau qui aspirait au pouvoir et à la puissance se retrouve désormais conquérant, Régente d'une nation, de sa nation. le sang de merle est peut-être bleu, mais c'est le pouvoir qui coule dans ses veines qui l'importe le plus. depuis que le virus a frappé aksana, le sang de la souveraine est désormais également considéré comme étant mutant, parce que la sauvage ne contrôle plus l'eau, non, c'est désormais sur le sang qu'elle agit impunément.
‹ POUVOIR : maîtrise du sang, don destructeur dans la main d'une âme détruite, l'oiseau a hâte de savoir maîtriser ce don à la perfection, de se venger de toutes ces âmes qui ont essayé de la corrompre pendant tant d'années, hâte d'imposer son pouvoir sur ce qui est sa nation.
‹ METIER : régente de la nation de l'eau, une responsabilité qu'elle ne faisait qu'imaginer dans ses rêves les plus fous, désormais réel, elle règne sur la nation de l'eau d'une main de fer.
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 18:18

C'EST TELEMENT BO JPP  gnuh  gnuh  gnuh
en plus je viens de remarquer ton titre : TOP  I love you  I love you  I love you  I love you  I love you  I love you  I love you  
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fire nation
Cal Oshun
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‹ AGE : trente ans, une nouvelle décennie qui l'attend, qui amène avec elle, il l'espère, des jours moins sombres.
‹ STATUT : l'anneau à son annulaire le lie à alaia, sa reine. ensemble, il espère qu'ils pourront construire le futur qu'ils imaginent pour leur famille.
‹ SANG : on dit que leur sang est bleu, symbole d'une royauté à laquelle lui et sa famille appartiennent. pourtant, ce même sang a coulé bien trop de fois pour qu'il en ignore la vraie couleur : un carmin intense.
‹ POUVOIR : le feu et les éclairs s'entremêlent désormais dans une danse dangereuse, qu'il s'efforce d'apprendre à maîtriser, jour après jour.
‹ METIER : il a été prince héritier, autrefois, puis empereur. désormais, il est roi. roi de flamaerin, roi d'une nation qui refuse de courber l'échine.
‹ ALLEGEANCE : cal, il pense avant tout à son futur, et à celui de sa famille. son allégeance, elle revient aux oshun, à leur dynastie, qu'il souhaite porter loin.
‹ ADIUTOR : naos, à qui il a été lié pendant plus de dix ans. mais naos a perdu la vie dans l'attaque de launondie, et désormais, plus rien ne semble rattacher cal à cette époque révolue.
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 18:28

wowww ce perso j'me sens brusquée much wow much wow ce que j'en ai lu vend déjà du rêve fairly local (lo) - délai 27.10 3836947603
par contre, POURQUOI T'ES JAMAIS TEAM GOUV? TU SAIS PAS CE QUE TU LOUPES :lise: :lise: :lise:
rebienvenue chez toi, j'ai hâte d'en lire plus I love you
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 19:58

LE PLUS BEAU, LE PLUS BADASS, LE PLUS SASS tete a claque sale tete a claque sale tete a claque nrv nrv nrv nrv nrv fall fall fall

(Re) Bienvenue avec ce personnage du tonnerre, bae. mea culpa fairly local (lo) - délai 27.10 2269768220
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 20:58

oooh le bon choix I love you I love you
bienvenue mea culpa mea culpa
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 21:10

Rebienvenuuuuuuuuuuue je vois qu'il promet ce personnage fall
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fire nation
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Maven Oshun
fire nation
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‹ AVATAR : dominic sherwood.
‹ CRÉDITS : laura bae, dandelion.
‹ COMPTES : esprit, guérison, métal, vol, électricité, intelligence.
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‹ AGE : vingt-trois années noyées dans les flammes de la vengeance et de la colère. vingt-trois années livré aux flammes destructrices et impitoyables.
‹ STATUT : pion politique sur l'échiquier géant qu'est l'empire d'aksana, maven est une pièce maîtresse déplacée au gré des jumeaux oshun. autrefois fiancé à elizaveta valaeris, maven se voit désormais fiancé à son premier amour, la reine de son coeur : merle osanos.
‹ SANG : royal, bleu, aussi pur qu'il est possible de l'être. maven est fier de pouvoir s'en targuer. au-dessus des autres, il ne cesse de l'afficher sans vergogne.
‹ POUVOIR : ça crépite au bout des doigts, dangereusement. suite à la propagation du virus, le vilain prince du feu a acquis une nouvelle maîtrise de son précieux feu. désormais roi des éclairs, il s'amuse à créer des halos lumineux entre ses doigts abîmés, préparant sa revanche à l'encontre de celui qu'il hait tant.
‹ ALLEGEANCE : la famille oshun, son propre sang. ces deux jumeaux diaboliques. pour la puissance et la royauté. pour la continuation de la grandeur du feu.
‹ ADIUTOR : lara til'illan, la petite terrible. celle qui le détestait. celle qu'il haïssait. celle qui a rejoint les rangs de pollux et qui rêve de se venger.
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 22:01

rebienvenue parmi nous I love you
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earth mutant
Adonis Griffith
Adonis Griffith
earth mutant
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‹ AGE : Il a eu 26 ans le 23 septembre dernier. On a tendance à lui donner plus, à penser que l'homme qui a déjà vécu autant a plus d'années au compteur mais Adonis est pourtant toujours jeune. Il comble l'inexpérience par l'ambition et le culot.
‹ STATUT : Marié à une femme qu’il aime, certes, mais son coeur se consume d'un amour interdit pour l'empereur tombé.Izolda est sa meilleure alliée, mais elle n’est pas lui. Après avoir passé des mois à tenter de l’oublier, Adonis se livre enfin à ses sentiments. Tout entier, sans barrière, sans retenue, quitte à finir avec le coeur en tas de cendres.
‹ SANG : C'est d'un bleu roi que son hémoglobine est teintée, comme cela aurait toujours du l'être. Le Griffith a récupéré sa couronne au prix fort, mais au moins tout cela n'a pas été vain.
‹ POUVOIR : Quatre semaines douloureuses ont transformées la vie d'Adonis à tout jamais. Le fier Eartanarien a perdu sa belle légitimité à cause d'inconnus. La colère qui brûle dans ses veines transforme sa terre adorée en une lave brûlante.
‹ METIER : Il y est arrivé, le but ultime est atteint avant même sa trentième année. Roi d'Eartanera, Adonis assoit son pouvoir sur la nation qu'il aime tant.
‹ ALLEGEANCE : Lui-même. Adonis a fomenté plusieurs alliances en échange d'une couronne qu'il a enfin obtenu. Plus motivé que jamais, le Griffith refuse de voir la couronne lui échapper. Il a également tout récemment fondé un mouvement activiste pour le bien des mutants à travers tout Aksana, avec Rayna Belikov et Rita Kimora.
‹ ADIUTOR : Aléa Dochain, l'ombre protectrice, capable de tout pour lui. Elle est sa main armée, elle est son réconfort. C'est elle son bras-droit, désormais.
‹ POINTS : 7335

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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 22:35

olalala I love you
Bienvenue ! I love you
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‹ MESSAGES : 1329
‹ AVATAR : travis fimmel.
‹ CRÉDITS : (av) babine, (gif) unknown/tumblr
‹ COMPTES : marlys, eron.
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‹ AGE : trente cinq années, environ, sans grande certitude.
‹ STATUT : piqué au vif par l'une de ses semblables même s'il se leurre, préférant prétexter un simple attachement à son sang plutôt qu'à sa personne.
‹ SANG : rouge, un simple rouge sang.
‹ METIER : tout et rien à la fois, il prend l'argent où il passe selon les besoins du moment.
‹ ALLEGEANCE : anders pollux, plus ou moins.
‹ POINTS : 507

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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 22:46

salut ptit vieux fairly local (lo) - délai 27.10 3836947603
SUPER CHOIX, j'adore mea culpa mea culpa
bon, on dit pas merci d'avoir engendré la merle hein mais on va te pardonner rock
je viendrais certainement te voir, plus tard, tu comprendras fairly local (lo) - délai 27.10 3836947603
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 22:53

en pls devant ce choix incroyable.
garde-moi un lien, on peut faire de grandes choses ensemble. :swagger:
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MessageSujet: Re: fairly local (lo) - délai 27.10 fairly local (lo) - délai 27.10 EmptyDim 15 Oct 2017 - 23:14

@Merle Osanos COMME NOUS  :swagger: perso je trouve qu'on a les meilleurs gènes d'aksana  fab2
omg si tu connais, t'es vraiment parfaite alors  What a Face

@Cal Oshun tkt tout va bien se passer, c'est une invasion tout en douceur chem
SORRY NOT SORRY PEUT-ÊTRE LA PROCHAINE FOIS  :swagger:
MERCI MERCI tete a claque

@Eurus Osoryd TU M'AGRESSE AVEC CES QUALITÉS DE L'AMOUR
J'EN SUIS TOUTE RETOURNÉE
bootyready

@Harald Swanson merci  much love par contre ton autre toi se tape ma nièce, j'vais vous surveiller de près #tontonrpz What a Face

@Isaak Griffith OMG MERCI  kisses

@Maven Oshun tiens donc, mon ex(futur???) beau-fils ? ryan  va falloir qu'on cause tous les deux  moustache
(merci  I love you  I love you )

@Adonis Griffith fairly local (lo) - délai 27.10 3836947603  fairly local (lo) - délai 27.10 3836947603 thanks gamin  What a Face (rien que pour ça ça valait le coup de jouer un mec de quarante ans  tete a claque  tete a claque  tete a claque )

@Ido Aderal  déçue  déçue  déçue
POURQUOI ???
c'est une corde sensible okay ??
mdrrrr mdrrrr mdrrrr

écoute, je nie toute responsabilité, on m'a pas filé le manuel à la naissance  much wow  much wow mais au moins elle a hérité des gènes de la beauté, on ne peut pas m'enlever ça fairly local (lo) - délai 27.10 1748788593
azy tu m'as intrigué là, c pas bien de me laisser dans l'ignorance  déçue

@Nurie Eriendar ow, merci ça me touche  kisses
tu m'intéresse toi satan
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